Un écrivain, son élève et une étrangère à la recherche du plaisir.
« … Je vous attendrai aux arrivées à l’heure de l’atterrissage de votre vol. Cordialement, Natalia R. », il ferma son ordinateur et chercha les clés de la voiture. Il avais besoin de sortir prendre de l’air, boire un coup avant d’aller à l’aéroport.
Ça faisait trois mois que il n’avait pas écrit un mot, son rédacteur chef n’arrêtait pas de l’agacer en remplissant sa boite email avec des idées puériles pour le chapitre manquant. Mais il ne lui restait que cinq semaines avant le délai final pour son roman et il etait pomme.
– T’as une mine de mort, dis ! Un double ? Demanda Julien en offrant un double whisky a son copain d’enfance. Il le connaissait bien, le seul remède pour tout maux de tête, corps ou esprit était un double.
– Ouais, merci man ! Et finit son verre d’un coup sans répondre à la réflexion de son ami.
– Putain, Steph ! Ça va vraiment pas, hein ? Tu sais, Laurie est dans le bar depuis un bon moment, elle a toujours su remonter… Ton moral. Vas la voir ! Dit Julien avec un clin d’oeil complice.
Le bar de Julien a toujours été l’endroit où Stéphane pouvait trouver des personnages intéressants et d’apaisement pour ses états d’âme. Laurie était une petite anglaise qui faisait ses études en France. Ils se sont connus à l’occasion d’un séminaire, elle parlait très mal français et elle avait besoin d’évoluer pour passer ses examens. Stéphane était entre deux romans et donnait de cours d’écriture créative.
Il prit son deuxième whisky et alla rejoindre son élève. Laurie était devant l’écran de son ordinateur et buvait un coca. Habillée comme toujours d’un t-shirt blanc qui laissait deviner ses seins insolents.
– Bonsoir Laurie ! Je vois que tu travailles tard pour tes examens.
– Oh salut Steph ! Naan, je suis online avec une friend qui me raconte son rdv avec Step-dad. comment dit-on en français step-dad ?
– Beau-père.
– Yeah, beau-père !
Elle regardait son écran et commença à jouer avec la paille de son boisson.
Vu son regard et l’avidité de la langue pour toucher la paille. l’histoire de sa copine devrait être plus que une simple rencontre familiale quelconque.
– Raconte un peu.
– Ben, my friend Karla a toujours eu une faiblesse pour son beau-père qui l’espionne quand elle prend ses douches. Il est prof lui aussi et cela l’excite. C’est un des points communs que j’ai avec ma copine !
Laurie avait prononcé sa dernière phrase en remontant son regard tout au long du torse de Stéphane. Il était brun, baraque et très viril.
– A bon ? Et donc cette rencontre entre son beau-père et elle ? Bien passée ?
– Oui, bien passée… à l’acte, dit Laurie avec un sourire malicieux.
Elle est restée en panne avec la voiture et elle a appelé son beau-père au secours. Il était en plein déroulement de son cours et le coup de fil de sa belle fille l’avait bien mis en colère. Ce n’était pas la première fois qu’elle le dérangeait pendant qu’il se trouvait à la cathèdre, mais il est allé la chercher néanmoins. En arrivant il a trouvé Karla penchée pour regarder le pneu, sa jupe remontée laissant entrevoir ses cuisses. Karla savait bien qu’il allait regardé, donc elle se penchait encore plus pour laisser entrevoir sa culotte déjà humide à l’idée du regard de son beau-père. Le pneu était foutu, ils ne pouvaient pas rentrer avec la voiture de Karla donc ils sont tous les deux montés dans la voiture de son beau-père. Sur la route, Karla ferma ses yeux en essayant de s’endormir et de laisser son beau-pere mater ses jambes légèrmenet écartées. Il trouva un endroit plus caché et arrêta la voiture.
– Je sais bien que tu dors pas ! Penses-tu que je n’avais pas compris pourquoi tu examinais le pneu ? Tu ne perds pas une occasion de me montrer ta culotte ! Maintenant soulève ta jupe et écarte les jambes.
Il passa se doigts au long des cuisses de sa belle-fille, enleva la culotte et commença à caresser le sexe de la fille. Ses doigts glissait facilement car elle mouillait fort.
– Tu es déjà excitée, aimes-tu que je te touche ?
Karla ne répondit pas, mais gémit un peu.
– Tu fais ta petite prude mais je sais que tu n’attends que ça.
Il enfonça deux doigts dans le sexe de la fille et elle ne put pas retenir un cris de plaisir.
Laurie fut interrompue par Julien qui vint débarrasser son verre vide.
– Alors Steph, ce voyage, tu nous en parles ou pas ?
– Je pars en Ukraine, je suis bloqué avec mon livre et puisque l’histoire se déroule dans les années 80 dans le bloc communiste, j’y vais sur place, quoi que ton bar offre aussi une belle source d’inspiration », Stéphane rit en regardant Laurie.
Stéphane se leva et regarda son élève :
– Tu vas rendre un homme très heureux un jour… Ou un beau-père.
Il quitta le bar et prit l’autoroute de Paris. L’histoire de Laurie l’avait excité mais leur affaire n’allait jamais plus loin, c’était son élève après tout et il risquait sa réputation pour ne pas parler de son contrat avec la maison d’édition. Son vol était dans 4 heures. La maison d’édition lui avait alloué le budget pour ce voyage. Il avait contacté une agence de voyage pour organiser son séjour, un guide allait le accompagner au long de son voyage et allait organiser des visites partout où le personnage de son roman avait agi. Le dernier mail confirmait qu’il serait attendu à l’aéroport.
– Bonsoir, Mr. Stéphane L. ?
– Oui, bonsoir, il regarda la femme devant lui. Elle était vêtue d’un manteau noir, le col soulevé qui soulignait un long cou.
– Je suis Natalia, votre guide. Pardonnez-moi, je vous ai reconnu à l’aide de la photo qui est sur votre premier livre. On m’a demandé de le lire.
Stéphane sourit, on a jamais assez de rencontres avec des gents qui connaissent notre travail, c’est plus facile aussi, car une partie de nous est déjà dévoilée, donc les conversations stériles du tout début sont contournées.
Elle lui fit signe de la suivre. En marchant derrière elle, il ne put pas s’empêcher d’observer l’allure fière de la femme qui allait être sa compagne de voyage. Les hauts talons de ses chaussures noirs donnaient à ses pas une cadence qui faisait bouger ses seins dans le même rythme. Ce mouvement laissait deviner des seins généreux et le contact avec la soie de sa chemise avait endurci ses tétons.
Ils montèrent dans le taxi qui prit son cours. Assise sur le siège de derrière, à coté de lui, elle laissa entrevoir ses genoux et le début de ses cuisses, elle ferma pour un moment ses yeux en regardant par la fenêtre. Il la regarda et comprit que cet air froid et fier cachait une chair vibrante et gourmande.
– Nous avons réservé pour vous et pour moi deux chambres à l’hôtel Opera au centre de Kiev. L’agence est vraiment désolée mais les deux chambres réservées pour cette nuit ont la salle de bain partagée. Nous vous prions de nous excuser pour cet inconvénient, mais je suis persuadée qu’on arrivera à ne pas se déranger, dit-elle avec un sourire. Il lui revint à l’esprit l’histoire de Laurie d’il y a quelques heures, il sentit son sexe durcir.
– Nous allons nous installer et on a une réservation à l’opéra de Kiev pour le spectacle de 21 heure. Le personnage de votre livre s’arrête premièrement a l’opéra, n’est ce pas ?
– Tout a fait, je vous remercie. Mais on peut se tutoyer, si cela ne vous dérange pas.
– Pas du tout.
Ils arrivèrent à l’hôtel et récupérèrent leur chambre. Stéphane, fatigué du trajet, alla prendre une douche. Il entendit à un moment donné la porte de la salle de bain s’ouvrir vers la chambre de Natalia.
– Oh pardon, je ne croyais pas que vous étiez ici, et elle repartit aussitôt. Elle ne ferma pas complètement la porte et continua à regarder, cachée derrière la porte entrouverte, l’homme nu devant elle. L’eau sur ce corps chaud l’excitait, elle regarda ce corps viril est commença à caresser son cou et ses seins, elle descendit sa main et souleva sa jupe en passant ensuite sa main entre ses jambes, elle commença à être humide et sa respiration accéléra. Elle continuait à fixer le corps nu de cet inconnu et elle caressait ses lèvres, en passant ses doigts à l’intérieur de sa chatte pour chercher un peu de mouille pour remonter après vers son clitoris. Ses doigts glissaient facilement car elle était de plus en plus excitée. Elle se colla dos au mur pour ne pas faire bruit et se faire remarquer puis continua à se caresser, elle sentit son bas ventre envahi de chaleur et le plaisir monter.
Stéphane avait compris ce qui se passait derrière la porte et sortit de la cabine de douche en se rapprochant de la chambre de Natalia.
Il pouvait voir maintenant la femme collée dos au mur, la tête penchée en arrière. les jambes écartées et ses doigts qui lui pénétraient la chatte.
– Alors comme ça, on s’occupe toute seule ? Moi aussi je prends du plaisir à te regarder, tu sais.
Natalia voulut cacher son geste mais il l’arrêta, il lui attrapa ses mains et les tint fermement.
– Tu veux que je regarde ou tu veux que je continue à ta place ?
– Non laisse moi ! Je ne veux pas.
– Si, j’ai bien vu comment tu regardais mon corps.
Il plaqua la tête de Natalia vers le mur et passa l’autre main entre ses cuisses.
– Et ma bite ? Elle te plait ? Tu la veux ?
Elle était tellement excitée qu’elle pouvait pas répondre.
D’une main ferme, il la fit descendre aux genoux et avança son sexe vers sa bouche.
– Tiens, c’est ça que tu veux ? Suce moi.
D’une main ferme, il la dirigea dans le va-et-vient, elle sentit son sexe jusuq’au fond de sa george. Elle arrêta à un moment donné et remonta. elle avait envie de sentir sa bite en elle, elle voulait qu’il la prenne. Stéphane l’embrassa passionnellement et l’amena dans le lit.
Elle le repoussa par pudeur mais le plaisir montait en elle et elle se laissait aller à sa volonté. Il lui prit ses cuisses et les écarta en la pénétrant fort.
– Je sais que tu aimes, ne me repousses pas, tu m’excites tellement.
Ses paroles l’excitaient encore plus fort, les gémissements de Natalia se transformaient en cris de volupté, elle n’avait jamais senti autant de plaisir.
Elle sentit l’orgasme se propager en elle et ses cris le firent éjaculer.
Il se retira et l’embrasse longuement.
– Ne mets pas des sous-vêtement en dessous de ta robe à l’opéra, s’il te plait..
Proposée par beatrice_hirson