Surprise !

Surprise !

L’histoire simple d’une surprise coquine.

Il est parti à son entrainement, nous ne devions pas nous voir ce soir et pourtant… Son corps me manque trop ! J’ai décidé de lui faire une surprise en allant l’attendre chez lui. Je passe rapidement chez moi après les cours chercher quelques affaires et me dépêche d’aller chez lui. C’est idiot, j’ai le temps : il ne sera pas là avant 23h. J’ai pris dans mon sac quelques petites choses qui devraient lui faire plaisir…

J’arrive chez lui et galère un peu à ouvrir la porte comme d’habitude, ce qui ne fait que rehausser mon excitation. Je suis comme une adolescente à trépigner. Une fois dans son appartement, je m’occupe comme je peux les premières heures. Je nous prépare un petit nid douillet : coussins, bougies, huile de massage, accessoires à porter de main. L’heure de me préparer est enfin arrivée… Je jubile ! Je me déshabille et enfile ma guêpière noire, celle qu’il apprécie beaucoup, avec la petite culotte en dentelle assortie. Je n’ose pas encore mettre mes bas de peur de les filer… Je vais dans la salle de bain pour me maquiller un peu. J’entends mon portable vibrer, c’est lui. Comme à chaque fois, il m’appelle en attendant son train. Nous discutons comme si de rien était. Je mouille en pensant à la surprise que je lui prépare. Son train est là, nous raccrochons, je suis heureuse : dans 20 minutes il sera là. Je finis de me maquiller et enfile doucement mes bas noirs puis mets mes talons hauts. Je fais les 100 pas dans l’appartement en l’attendant. Je termine d’allumer les bougies quand j’entends la porte extérieure s’ouvrir. C’est lui. Je me mets devant la porte et attends qu’il ouvre.

Il ouvre la porte et je lis dans ces yeux la joie et une sorte de soulagement de me voir là. Il ne regarde que mes yeux et n’a pas encore vu ma tenue. Il pose ces affaires par terre et s’approche pour me serrer dans ses bras. Il me murmure à l’oreille : « Tu es magnifique. » Je suis aux anges. Je l’embrasse tendrement pendant que ces mains me caressent le dos. Je sens son souffle chaud, c’est agréable. Je l’invite à enlever son manteau. Pendant ce temps, je glisse mes mains sous son T-shirt et entreprends une exploration de son torse. Il sent la sueur, j’adore. J’aime tellement son odeur… Il se laisse faire, un petit sourire coquin aux lèvres. Je lui enlève chaussures et chaussettes avant de remonter son T-shirt pour lui embrasser chaque centimètres carrés de torse. Il n’ose me toucher et reste là, à savourer ce bon moment. Après lui avoir ôter son T-shirt, mes baisers se rapprochent du haut de son pantalon. J’embrasse doucement en mettant de temps en temps de petits coups de langues. Je baisse doucement son pantalon tout en embrassant la limite de son boxer. Ses muscles se raidissent, je lis dans ses yeux l’excitation. Je suis à genou devant lui, ma main passant sous son boxer. J’effleure ses testicules, il tressaille, je souris. Je continue mes baisers à la frontière de son caleçon tout en effleurant ses testicules. De l’autre main, je commence à baisser son caleçon. J’utilise mes deux mains pour l’étirer afin de l’enlever sans toucher sa verge déjà dure.

Je m’applique à ma tâche et lui enlève son caleçon. Il ne m’a pas encore touchée mais ma culotte est trempée. Ma bouche se rapproche alors de son membre, lui souffle de l’air chaud, l’effleure sans jamais le toucher. Mes lèvres viennent embrasser ses doux testicules. A peine ma langue a-t-elle touché sa peau qu’il pousse un long gémissement, premier bruit depuis que j’ai commencé le torturer. Ma main remplace ensuite mes lèvres et vient soupeser ses bourses. Mes lèvres se rendent alors sur son maillot. Je prends soin d’éviter son sexe, comme à chaque fois que je veux le faire languir. Je lève la tête, il me regarde, ses yeux sont pleins de désir et d’envies. Il me sourit, je lui rends son sourire alors que ma bouche s’approche dangereusement de sa verge. Je l’embrasse, la lèche avant de la prendre goulument en bouche. A moment même où ma langue touche son gland et où mes lèvres enserrent son membre, il balance la tête en arrière dans un long râle. Je jubile, je suis heureuse de le voir ainsi. Je le mange avec appétit : Ma bouche se resserre sur lui, ma langue chatouille son gland, ma main caresse ses bourses avant de venir titiller son anus. Je le regarde dans les yeux pendant qu’il me lèche le doigt. Ma bouche se retire quelques instants de son membre pour venir humidifier son anus. Mon doigt mouillé va caresser cette entrée avant d’y pénétrer doucement. Une fois encore, sa tête se balance en arrière et ses yeux roulent au ciel dans un râle de plaisir. Mes lèvres et ma langue reprennent leur travail intensif sur sa verge qui ne cesse de durcir. Je lui donne du encore du plaisir en le caressant en même temps de ma main libre. Je vois à la couleur de ses joues et à ses yeux qu’il va jouir si je continue ainsi. Je ne veux pas que la partie se termine maintenant. Je m’arrête, il me regarde avec un sourire. Je lui dis de monter dans la mezzanine pendant que j’enlève mes chaussures. Son petit cul passe devant moi sur l’échelle et je ne peux m’empêcher de le bouffer encore un peu. Je le laisse partir s’installer et grimpe à mon tour. Il est allongé, béat et me regarde. Je me mets à genoux et défait un bas puis l’autre. J’enlève ma culotte et les remets. Je m’approche de lui, passe au dessus de lui. Mon liquide coule sur mes cuisses. Mon sexe est à présent juste au dessus de sa tête et il a une vue plongeante sur mon petit cœur. Ma bouche s’approche de son oreille et je lui murmure : « Bouffe-moi ! » avec une voix langoureuse. Je descends alors mon sexe trempé sur sa bouche et il s’exécute. Sa langue vient chatouiller mon clitoris avant aller fouiner entre mes deux lèvres. Mon corps est pris de sursauts. Je lutte pour ne pas jouir tout de suite et en même temps, mon corps pèse de plus en plus sur sa bouche pour qu’il aille m’explorer plus profondément. Ses mains agrippent mes fesses, les malaxent. Il commence à caresser mon anus. Ma raison veut lui dire non mais mes fesses en meurent d’envie. Il approchent un doigt de ma fente et le glisse à l’intérieur de moi. Je tressaille et ma main tient sa tête sur mon sexe. Il vient ensuite introduire son doigt lubrifié dans mon anus. Un râle grave sort de ma gorge pendant que je jouis abondamment sur son visage. Je m’effondre ensuite sur lui et lui murmure : « Merci ». Je suis entre deux mondes et sens à peine qu’il se retire de sous mon poids. Je suis sur le ventre, il m’écarte doucement les jambes, j’ouvre un œil et tourne la tête. Je le vois, entre mes jambes, le sexe dressé en direction de mon vagin. Avant que j’aie eu le temps de lui dire « Attends ! », il est en moi dans un profond gémissement. Il fait des vas-et-vient déjà très rapides, il va jouir rapidement. Je voudrais qu’il prenne son temps mais il m’agrippe à la taille. Le moment est venu, il se dresse, droit, muscles tendus, il jouit avant se s’allonger sur moi. Il se repose un moment puis se retire et s’allonge à côté de moi. Je le regarde, il sourit et me dit à son tour « Merci ».

Je suis encore en guêpière. J’enlève mes bas, les plie pour lui laisser un peu de répit. J’enlève ensuite ma guêpière. Je suis nue et m’allonge à côté de lui. Je le regarde et déjà mon sexe chauffe. J’ai encore envie de lui. Il est sur le dos, je recommence à embrasser son torse pour voir sa réaction. Il sourit, je prend ça pour un « Moi aussi j’ai encore envie de toi. ». Je le branle un peu pour que son sexe redurcisse. Je n’ai pas grand chose à faire pour qu’il bande comme avant. Je pose alors mon sexe sur le sien et me frotte un peu à lui. Il garde les yeux fermés mais sourit. Ses mains sont sur mon dos et le caressent. Lorsque je suis bien humide, j’introduis son sexe dans mon antre. Au lieu de commencer des va-et-vient, je m’allonge sur lui et lui murmure à l’oreille « Tringle-moi ! ». Ni une ni deux, il ouvre les yeux et m’agrippe. Il nous retourne. Je me retrouve à présent que le dos et lui sur moi. Il passe mes jambes sur ses épaules, ses yeux sont pleins de désir. Il me prend avec force, allant à chaque fois encore plus profondément dans mon vagin. Il profite de la position pour aller caresser mon bouton d’or. Je me tortille entre ses bras. Il va ensuite, de son doigt mouillé caressé à nouveau mon anus. Cette fois, j’ai le temps de lui dire que je n’en ai pas envie. Il m’attrape par les épaules et m’empêche de bouger. Il continue de me prendre avec vigueur. Je réussis tant bien que mal à me libérer et attrape ses cheveux de façon à ce que sa tête vienne se mettre près de ma bouche. Je lui dis : « Plus vite, plus fort. ». Il s’exécute. Je ne lâche pas ses cheveux et lui tords la tête en arrière. Il va de plus en plus vite. Il va jouir, moi aussi je veux jouir ! Je lui crie presque « Défonce-moi ! » avant de sentir une vague intense de plaisir m’envahir. Je jouis en même temps que lui. Il s’allonge sur moi et m’embrasse avant de poser sa tête dans le creux de mon épaule. Je ferme les yeux et souris bêtement en lui disant « Merci mon amour. » Il m’embrasse sur la joue et remets sa tête près de moi. Nous nous rendormons dans cette position : Lui en moi, la tête au creux de mon épaule.

Proposée par soed18