Deux tickets s’il vous plaît

Résumé : Une journée au cinéma qui va devenir mémorable. Un peu plus hard sur la fin.

Ma copine m’avais convaincu d’aller voir une daube au cinéma, me disant que j’aimerai et que ça lui ferait plaisir, de plus un mardi matin, il n’y avait personne, mis à part les deux vigiles, la caissière et une femme de ménage. Un grand couloir noir moquette et… Mais pourquoi je raconte ça.
On se dirigeait vers la salle. Elle me poussa par la hanche dans un des renforcements de l’allée, ceux où il y a très souvent les boites rouges en cas d’incendie. Ma demande d’explication n’eut pas de réponse. Elle glissa ses mains sous ma chemise, parcourut mon torse et sans même prendre le temps de défaire mon jean, glissa sa main sous mon caleçon prenant en main mon entre-jambes qui n’avait pas encore compris ce qui se passait. Elle me regarda et me tira sa langue, puis se mit à genou et détacha mon pantalon. Elle effleura mon boxer qui commençait à se tendre avec ses lèvres. Elle mordit mon boxer pour le descendre puis remonta en glissant sa langue et finit par me prendre en bouche. Sans rien dire, elle faisait de grands va-et-vient m’enduisant de salive qui commençait à couler sur le sol. Elle déplaça sa langue sur la base de mon membre qu’elle agitait déjà entre sa main qui l’enlaçait, agrippant avec son autre main mes fesses. De petites convulsions commencèrent, annonçant que je ne tiendrais plus longtemps alors elle se releva, ralentissant ses mouvements et me demanda à l’oreille sur quelle partie de son corps je souhaitais finir, je lui dis timidement que sa poitrine m’excitait. Sans défourner les yeux, elle fit glisser le haut des manches qui tenaient son haut aux épaules puis le glissa à mi-poitrine, laissant apparaitre son soutien-gorge coloré. Elle prit ma main et la déposa sur mon sexe, me montrant que je devais m’occuper des mouvements pendant qu’elle plaçait sa bouche sur mon gland, lui donnant des petits coups de langue. Un léger spasme se produit, il ne lui en fallut pas plus pour comprendre que je tenais plus. Elle se redressa approchant jusqu’à coller ses seins contre mon bout. Me relâchant presque immédiatement après, une partie de moi coulais de son cou pour disparaitre entre ses seins. Elle ne quittait jamais mon regard sachant que ça m’excitait au plus haut point. Elle se releva, m’embrassa langoureusement et me dit qu’elle allait aux toilettes se nettoyer.

Il me fallut quelque instant pour reprendre mon souffle. L’image de mon âme sœur à genoux couverte de mon sperme figé dans ma tête m’excita à nouveau. Je traversais le couloir après m’être rhabillé. Me glissant dans les toilette des filles, scrutant s’il n’y avait personne, je passais derrière elle sans qu’elle me voit. Une main agrippa sa poitrine pendant que l’autre caressait sa cuisse en remontant. Elle passa sous sa jupe et arriva à son boxer qui était humide, je frottais mes doigt de haut en bas sentant sa respiration accélérer. Je la tirais dans une des cabines refermant la porte contre laquelle je la plaquais, ma main se collait à son intimé jouant avec son clito par-dessus le tissu. Je remontais ma main le long de son dos, la passant dans ses cheveux et m’agrippant a elle, inclinant légèrement sa tête pour l’embrasser tendrement. Ma main remonte et caresse son ventre pour redescendre en se glissant sous son boxer qui commence à être trempé. Elle gémit plus fort et moi je jubile du plaisir que je lui donne. Un doigt se glisse en elle, ses mains s’agrippent à mon dos et ma nuque. Je commence des mouvements légèrement plus rapides que la normale, lui déclenchant une suite de sons m’excitant de plus en plus. Soudain la porte claque, le bruit du chariot annonce distinctement que la femme de ménage est rentrée dans la pièce. Mes mouvements continuent plus lentement sans quitter ma partenaire des yeux. La femme s’annonce et demande s’il y a quelqu’un, l’absence de réponse lui fait commencer son travail. Je commence à accélèrer de façon continue mes gestes, voyant qu’elle ne pourra plus retenir des cris longtemps, je lui plaque ma main contre la bouche et dépose la mienne dans son cou. L’employée ne se rendit compte de rien. Ma moitié commence à trembler et elle exulta dans un profond cri sourd, puis se laissa tomber de fatigue. Je la rattrapais dans mes bras, l’embrassant passionnément. Nous sommes sortis des toilettes lentement et calmement, mais également rouges comme des tomates.

Elle me dit avec un petit sourire : Voilà avec tes bêtises on est en retard.

La salle était clairement vide si on retirait la mère avec ses deux enfants, je ne pus m’empêcher de faire remarquer le rapport entre le nombre de personnes et la qualité du film. Au bout de 30 minutes je scrutais le film tellement il était rempli d’erreurs et de scènes absurdes. Elle me tendit quelque chose que je pris par réflexe et je me rendis vite compte que quelque chose clochait… C’était humide et chaud. C’était son boxer dans la pomme de mes mains, Je comprenais bien ce que cela signifiait. Je pensais à ce qui allait arriver mais il était clair qu’aujourd’hui elle prenait les choses en mains, au point où elle m’avait sorti mon membre par la braguette. L’effleurant de ses doigts, il commença à réagir, elle approcha sa bouche et laissa couler de la salive sur mon membre puis commença à me branler lentement. Ça ne dura pas longtemps, car elle se leva et s’assit sur moi, m’attrapant l’entre-jambes et la glissant en elle. Elle montait lentement et se laissait tomber, mes mains glissaient sous son haut et caressaient ses seins. Ses fesses rebondissaient sur mes hanches et j’aimais ça. Ma main caressait son ventre et je décidais je lui faire plaisir en glissant ma main et en titillant son clito. Malgré ma mains qui bloquait sa bouche, on entendant ses gémissements qui s’amplifiaient. Ses tremblements revenaient. Elle eut quelques contractions puis se laissa tomber sur moi, tourna la tête pour atteindre mes lèvres. Je la pris par les hanches et la mit face à moi, l’embrassant dans le coup et la serrant dans mes bras. Je fis glisser ma main sur son ventre et empoignais mon entre jambes pour la redresser en elle. J’accélérais mes mouvements, agrippant à la fois le bas de son dos et un de ses seins. Mes mouvements devenaient frénétiques et ses cris n’arrivaient plus à être contenus par ma main. Par chance la musique du film couvrait tout ce qui se passait. Je la laissais retomber une dernière fois. Je n’en pouvais plus, mes muscles ne pouvaient plus faire aucun mouvement. Elle resta sur moi quelques instants, une partie moi en elle. Elle me caressa le torse et me murmura de me laisser faire. Elle se redressa et ce mit accroupie devant le siège. Ses mains caressaient mes cuisses, ce qui aurait pu m’exciter si je ne l’étais pas déjà par sa bouche qui entourait mon sexe. Une de ses mains se mit à me caresser la base, il n’en fallut pas plus pour que je vienne dans sa bouche. Elle avala puis vint ce rassoir. Je ne pouvais pas rêver meilleure journée, mais comme à chaque fois, elle devait gaffer. On était en train de manger une glace dans le bâtiment et elle me parlait de sa journée, de ses amis et d’autres choses. Le souci c’est que le prénom d’un de ses amis revenait assez souvent et je la voyais regarder ma réaction à chaque fois. Elle le faisait exprès ? Je ne savais pas vraiment, la seule chose dont j’étais sûr c’est que ça commençais à m’énerver au plus haut point mais je ne disais rien pensant quelle allait comprendre. En descendant dans l’ascenseur je sentais mes nerfs arriver à bout. Dans les allées du parking, elle me regarda avec ses yeux innocents et me demanda ce qui n’allait pas, Je lui avais déjà dit que ça m’énerver encore plus quand elle faisait comme ça. Elle ne pourra pas m’en vouloir. J’ouvris la bouche pour taper ma gueulante, à ce moment-là elle posa un doigt et me susurra l’oreille : Ne te fatigue pas à crier, tu ne m’impressionne pas ! Si tu veux que je t’écoute, montre-moi qui est le chef et qui est l’esclave !

Bien que je comprenais que toute cette discussion n’avait été là que pour me pousser à bout, je ne pus calmer ma colère. Je lui pris les cheveux et la plaqua contre un des pilonnes, face contre le béton, j’aperçus un petit sourire de satisfaction. Je lui frappais les fesses en lui disant de ne pas sourire car elle n’aimerait pas la suite, elle en rajouta. Ma mains glissa sur sa fente humide et se posa sur son petit trou, elle eut un petit regard de supplication, ce qui ne m’empêcha de lui enfoncer jusqu’à la phalange. Elle cria ! Le sous-sol étais aussi vide que le haut et tout compte fait, cela ne changeait rien. Mes mouvement étaient longs et appuyés, lui provoquant des gémissements étouffés. Je la forçais à se mettre à genoux, posant mon membre sur ses lèvres. Elle refusait d’ouvrir la bouche, je lui boucher le nez en lui pinçant. Malgré sa tentative d’apnée, elle lâcha après une quarantaine de secondes, ouvrant grande sa bouche pour reprendre sa respiration. J’engouffrais mon sexe jusqu’à ce qu’il vienne taper contre le fond de sa gorge, provoquant un râle de sa part. Mes mouvements étaient violents et rapides, lui agrippant constamment les cheveux pour aller un peu plus loin à chaque coup de bassin. Je la lâchais, pendant quelle reprenait son souffle, je lui ôtais son haut et son soutien-gorge, malgré sont air étonné elle ne dit rien. Je lui dis de laisser couler sa salive pour la rendre glissante. Je lui ordonnais de se redresser et de poser ses mains contre le mur, m’offrant ses fesses. Elle ne mouillait plus mais coulait le long de sa jambe.
– Prends-moi ! Ma petite chatte n’attend plus que toi !

D’un simple regard elle comprit que ce n’est pas ce que j’avais en tête, A part mon doigt, rien n’était rentré dans ce petit trou serré qui s’offrait à moi. Elle me demanda de ne pas faire ça, mais ce n’était pas assez convainquant, je lui remis une fessés comme réponse, puis présentai mon sexe devant ses fesses. Ça ne rentrait pas, j’avais beau forcer, je restais dehors. Elle me regarda avec un sourire narquois, me disant que dieu ne voulais pas. Mes mains s’agrippèrent sur ses belles fesses qui étaient rouges des coups que je leurs avais portées. Mon coup de hanche fut violent, autant que son cri. J’étais compressé en elle, cette sensation me plaisait, mais il m’en fallait plus. Je lui martelais son trou, rebondissant contre son petit cul, elle criait, un mélange de douleur extrême et de plaisir intense. Elle en avait les larmes aux yeux et ses demandes d’arrêter ne changeaient rien. Elle me supplia et moi j’accélérais, lui donnais des fesses et massant ses seins avec fermeté. Je tirais ses cheveux pour une meilleure prise. Mais tout ça me donnait trop de plaisir pour que je me contrôle. Je sortis sans prévenir, elle s’effondra à genoux et je glissais ma queue au fond de sa gorge, mettant des petits à-coups pour me finir. Je me vidais sans même lui laisser la possibilité d’avaler, tout coulait dans la gorge. Mon ventre me faisait mal et ma force me quittait lentement. Je la pris dans le bras pour la relever, elle me remercia, ce qui me laissa perplexe mais me rassura, pensant que j’avais peut-être abusé. A notre retour, je lui fis couler un bain et dans l’eau nous discutions de ce que nous avions fait. Je l’aimais.

Proposée par tomate

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