2ème rencontre

Résumé : Rencontré sur internet et après leur première rencontre, la deuxième qui aura lieu dans un hôtel, sera plus chaude.

Ils s’étaient rencontrés sur internet, le courant passait il n’y a aucun doute, très vite devenus intimes leurs discussions n’avaient pas de frontière. Elle était la jeune fille qui avait besoin de quelqu’un qui la fasse sortir de son monde, lui le mec loin qui la comprenait. La distance renforçait leur relation, mais ne continuons pas dans ce sens nous ne sommes pas là pour ça. 😉

Leurs première rencontre fut intense. La première fois qu’il put la serrer dans ses bras et goûter ses lèvres restera dans sa tête jusqu’à ses derniers jours. Pour des raisons qui ne resteront qu’entre eux deux, durant ces quelques heures et malgré leurs envies mutuelles, l’acte n’eut pas lieu et c’est peut-être mieux ainsi. Malgré son refus qu’il lui donne du plaisir, elle ne le laissa pas en reste. Il eut droit à deux moments d’extase qu’elle lui procura avec sa bouche. Frustré de ne rien pouvoir faire, il profita de ces moments où elle était serviable. Elle repartit se jurant de se revoir.
Plus tard elle lui avoua qu’elle avais aimé lui procurer du plaisir et le moment où il lui avait tiré les cheveux pour la diriger. Ils parlaient de leurs fantasmes mutuels, et une bonne nouvelle tomba, après l’été il viendrait la voir.

(La suite ce passe dans la chambre d’hôtel et sera racontée alternativement du point de la demoiselle et du jeune homme.)

On s’allonge sur le lit, elle me dit qu’elle me veut, qu’elle veut que ça première fois soi avec moi. Après lui avoir demandé confirmation une bonne dizaine de fois, je dépose mes lèvres sur les siennes. Mon corps l’a désirée depuis tellement de temps, je repris mon souffle et me dis qu’il fallait que je sois doux. Je la dévêtis lentement sans abandonner sa bouche puis vint mon tour. Je l’allongeais sur le dos me collant contre son corps, je rentrai délicatement en elle tout en m’assurant qu’elle aille bien. Je restais dans cette position, ne pensant pas que la bouger dans tous les sens lui laisse un bon souvenir, c’est également pour ça que je préférais arrêter avant que je finisse. Je passais les 10 minutes suivantes à ses cotés à lui caresser le ventre et lui faire des bisous dans le cou.

Il était allongé à mes côtés, me regardant avec amour, un amour que je lui rendrais.
« Un massage ? »

J’aurais étais idiote de refuser, m’allongeant sur le ventre, il monta sur moi et commença à m’enduire d’huile, ses mains chaudes me caressaient des épaules au bassin. Je me laissais aller à ses caresses puis ses mais se stoppèrent, il s’approcha de mon oreille et me susurra qu’il m’aimait puis me demanda si je voulais qu’il me masse ailleurs ? Je ressentis un peu de honte avant de lui dire d’une petite voix « Ma poitrine ».

M’attrapant par la taille il me retourna et après m’avoir fait un sourire il commença. Je me laissais partir sous ses caresses. Me retrouvant à nouveau sur le dos et huilée sur tout le corps.

Je fis glisser ses mains derrière son dos et avant qu’elle ait le temps de comprendre, je resserrais les menottes sur ses poignets. Il y eut un début de « Mais… « . Je lui dis qu’à partir de maintenant elle m’appartenait et qu’elle devait m’appeler Maître. Elle sourit en me regardant du coin de l’œil, j’en profitais pour lui chuchauter que si elle voulait que j’arrête elle n’avait qu’à prononcer mon prénom et de dire qu’elle voulait arrêter. Elle hocha de la tête et pour confirmer qu’elle m’appartenait je lui dis en agrippant ses petites fesses qui s’exhibaient devant moi : Tu es a moi ?

En me regardant dans les yeux, elle me répondit « Oui maitre, je suis votre petite chienne » puis elle les baissa. Je glissais alors ma main le long de sa cuisse, jusqu’à la mettre à plat sur cette partie chaude qui commencera être mouillée, je la fis se mettre à genoux, ça tête resta sur l’oreiller. Je fis quelques mouvements puis la remis sur le ventre, ses jambes écartées en grand devant moi, je ne pus m’empêcher de mordre mes lèvres. Mon premier baiser ce déposa sur son ventre, puis le bas de son ventre, puis le haut de son sexe et vint toucher son clito. Un petit gémissement se fit entendre. Ma langue sortit pour commencer à faire des mouvements lents et appuyés. Sur le début, elle rechigna un peu à se laisser faire mais comprit très vite qu’elle n’avait d’autre choix. Mes mains se sont posées sur ses fesses et tout en les agrippant de plus en plus fermement, je lui surélevais le bassin. A en voir son visage et à entendre ses gémissements, elle appréciait. Je laissais tomber ses petites fesses que j’aimais tant sur le lit, puis approchai ma main de son entre-jambes. Après quelque caresses je me mis à jouer un peu avec ses nerfs avec mon doigt. Au moment où je la sentis se relâcher, je fis pénétrer ce dernier d’un coup sec et commençai un mouvement de va-et-vient. Entre deux petits cris, elle dit : « Ta langue… Met ta langue. »

Je glissais ma langue sur son corps jusqu’à faire de grands mouvements sur son clito. Ses râles devenaient de plus en plus intenses, son bas-ventre ondulait au rythme de mes mouvements. Elle eut un orgasme, son premier, elle paraissait aux anges et ça me rendait aux anges. Je remontais en parsemant sa peau de petits baisers et me collai à elle quelques minutes.

Il était là, allongé à mes côtés une main sur mon ventre, mes menottes me faisaient légèrement mal, ce qui me rappela que j’étais à lui. Avec un petit sourire coquin, je lui demandais ce que sa petite chienne devais faire ? Ca sembla le réveiller. Il me fit gliss sur le ventre au bord du lit, il se mit debout devant moi. Je relevais les yeux vers lui, son membre se posa sur mes lèvres, je mis quelques coups de langue puis le pris en bouche. Il émit un petit gémissement en levant les yeux vers le ciel. Je le pris dans ma bouche et jouai avec ma langue, ce qui semblait lui faire du bien. Il posa sa main sur ma tête, la referment en agrippant mes cheveux, cette situation m’excite, j’aimais être sous son contrôle. Je ressentais son excitation dans ses mouvements qui accéléraient et s’accentuaient en profondeur. Il finit par me relâcher les cheveux et me laissa tomber sur le matelas, il attrapa les menottes et me tira dans la salle de bain, me fit entrer dans la douche et me demanda de me mettre à genoux. Je lui dis non sachant très bien qu’il serait obligé d’utiliser la force pour me soumettre et tenir son rôle. Je le regardais droit dans les yeux, il se colla a moi et m’agrippa les cheveux, empoignant mes fesses avec son autre main, puis me donna une violente fessée et me tira vers le bas, m’ordonna de m’assoir sans que je ne puisse rien faire.

Elle à genoux, moi au bord de l’extase. Elle attachée, moi qui accomplissais mes plaisirs. Toute la scène m’excite et m’encourage à continuer. Une nouvelle fois, elle ouvrit la bouche pour mon plaisir personnel, Je la laissais faire pour ne pas perdre le contrôle, très vite je ne me retenais plus. Je sortis et commençai à me branler, elle, sans que je le lui demande, commença à mettre des coups de langue un peu plus bas que mon membre. Je venais mais je ne voulais pas lui imposer ce qui aller arriver, alors par moment, je ralentissais le rythme pour me contenir un peu plus longtemps. Est-ce qu’elle avait compris ou était-ce juste un hasard, le fait est qu’elle remonta d’un coup de langue le long de mon entre-jambes et le mit en bouche, commençant des aller-retours très rapides. Je sentis mon bout toucher le fond de sa gorge, ce qui m’excitait extrêmement. Mon envie est montée en un instant, voulant la sortir pour prendre le temps de me calmer, elle se rapprocha de moi pour continuer son action. L’attrapant de la main gauche par les cheveux je la tirais brutalement vers l’arrière, mais me rendis compte qu’il était trop tard pour me calmer, je sentais déjà mon envie prendre le pas sur la raison. Je pris mon sexe en main et continuai mes va-et-vient, elle se mit face à moi, me regardant droit dans les yeux et tirant la langue comme pour quémander. C’était trop, dans un gémissement sourd je me laissai aller, quelques contractions plus tard, la regardant, son visage était parsemé de mon être. Je décompressais et elle avait l’air comblée. Nous avons pris une douche, je ne la quitter pas du regard et du corps, la caressant, la savonnant et la rinçant.

Je repensais à tout ce qui venait de se passer et j’étais heureuse, comblée et fatiguée. Je lui fis dos et lui tendis mes poignets pour qu’il m’ôte les menottes. Ma fesses piqua juste après un son fort, il venait de me fesser une nouvelle fois. Me regardant il me dit que le jeu se finirait quand il aurait fini et que par ailleurs il venait juste de commencer. Que jusqu’à présent il avait été sage et attentionné et qu’il comptait m’utiliser comme bon lui semblait. Ses mots me firent peur mais m’excitaient au plus haut point. Il est vrai que jusqu’à présent malgré que j’étais à sa merci il avait été plutôt mesuré et doux, mais je m’inquiétais de ce qu’il avait derrière la tête.

Il me tira jusqu’au lit par les cheveux si violemment que je trébuchais sur le bord du lit, j’avais mal et ma tête et je me laissais tomber sur le matelas, si j’avais su… Il passa sur moi et me fourra son membre au fond de ma gorge, prise par surprise je m’étouffais, il sortit de ma bouche enduit de salive. Il me dit de me mettre à quatre pattes sur le matelas, secouée par tout ça j’obéis sans même ouvrir la bouche. J’étais là sur le lit dans une position obscène pendant qu’il venait se placer derrière moi et je ne pouvais m’empêcher d’aimer ça, être son esclave, son objet, son jouet, tout ça m’excitait, j’en voulais encore. Il approcha son sexe, mais le dirigea vers mon petit orifice et le posa devant. Je tournais ma tête vers lui, il força lentement, le bout venait de rentrer et ma douleur avait déjà atteint sa limite supportable. J’ouvris la bouche pour laisser sortir un cri. Il s’arrêta net, me regardant, s’apprêtant à se retirer, les larmes me venaient, je le regardais une nouvelle fois et sans vraiment savoir pourquoi, comme pour le provoquer je luis dis : Qu’est-ce que tu attends ?!

Il m’agrippa les cheveux et posa sa main sur le bas de mon dos pour me forcer à me cambrer, il rentra le reste de son membre d’un coup sec et ne s’arrêta pas là, il me harcelait de violents coups de reins, je hurlais et lui accélérait, me tirant toujours plus fort la tête. Mes cris de douleur se mélangèrent avec ceux de désir et d’excitation, j’aimais ça, c’était dur et douloureux mais j’en voulais encore. Il s’agrippa à mes hanches et martela mon cul de toutes ses forces. A cette allure il ne dura pas longtemps, me jeta sur le lit et m’en mit plein le dos et les fesses. Nous avons repris notre souffle puis il m’a détachée et emmenée à la douche pour me nettoyer. Tout le reste de la journée il a étais tendre avec moi, mais après l’avoir vu prendre tant de plaisir, il n’y avait plus de doute, il faudra réessayer.

Proposée par tomate

3 réflexions au sujet de « 2ème rencontre »

  1. Mais pourquoi tant de fautes d’orthographe, de grammaire, de conjugaison, ou encore d’accords ? Relisez-vous ou faites-vous relire avant de publier … Pauvre français ou français pauvre, aux lecteurs de voir …

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