Par un soleil de plomb, une journée torride d’été. Elle avait décidé de profiter à plein de ce beau temps en allant faire un tour à la plage. En vitesse, elle s’était préparée en prenant soin de ne rien oublier. Arrivée à destination, elle parcourut la lisière de sable à la recherche de l’endroit idéal où elle pourrait profiter du soleil, de l’eau et aussi, comme elle est un peu exhibitionniste, du regard voyeur des mecs qui pourraient profiter de son corps aux formes invitantes sous les reflets des chauds rayons.
Après quelques minutes de marche et un coup d’œil observateur, elle dépose ses effets et elle allonge sa couverture pour prendre possession de l’endroit choisit. Elle s’applique généreusement une huile sur l’ensemble des parties exposées. Elle le fait avec des mouvements empreints de douceurs et de sensualité. Elle s’aperçoit, d’un regard furtif, qu’à quelques mètres de là, je l’observe du coin de l’œil. Elle en profite pour m’en mettre plein la vue en se caressant presque afin d’étendre cette huile, même aux endroits les plus inaccessibles, les plus érogènes.
Derrière ses verres fumés, elle réalise non seulement que j’observe la scène avec attention mais aussi que je camoufle difficilement un membre qui commence à bander. Cette vue lui donne des envies. À la vue de mon érection, le désir l’envahit et elle décide de soulager cette montée de libido en se rendant dans une cabine à proximité de là. Elle entre à l’intérieur mais non pas sans avoir jeter un regard en ma direction puis elle referme pour donner libre cours à ses effusions de désir. D’un geste sans équivoque, elle abaisse sa petite culotte, déjà toute mouillée et elle commence à se farfouiller l’entrejambe et à se toucher le clito, à le faire rouler entre deux doigts puis elle se met à gémir sous l’effet de cette branlette. J’arrive tout près de la cabine lorsque je l’entends, ne pouvant contenir le plaisir qu’elle se procure. J’entre sans faire de bruit et veux la toucher. Elle est un peu honteuse de se faire surprendre en pleine branlette. Sa réaction est instinctive : essayer de remonter sa culotte pour me cacher son trésor. Ne voulant rien perdre de cet instant volé dont elle s’apprête à me priver par fausse pudeur, je dépose ma main sur sa chatte et je sens son liquide chaud que je porte à ma bouche et la pénètre de mes doigts. Son malaise persiste et sans grande conviction elle me lance :
– Pas ici, on pourrait nous entendre.
Je la fait taire en l’embrassant et en mettant ma grande langue dans sa bouche. J’enfonce deux doigts dans sa chatte et je touche son anus avec mon autre main. Elle mouille comme jamais et abondamment. Je me baisse puis commence à écarter sa toison puis ses lèvres. Je passe ma langue autour de son clitoris puis l’enfonce à l’entrée de son vagin. Je salive abondamment dans sa grotte d’amour et elle répond par des giclées de liquide que je savoure et dont je me délecte jusqu’à la dernière goutte. Je m’applique à continuer à lui émoustiller la chatte. Elle atteint une excitation fantastique !! Ensuite, je l’allonge sur une couverture, lui demandant de mettre ses jambes derrière sa tête ; étant assez souple, elle s’exécute. Tendrement et avec délicatesse, je me mets à lui bouffer goulûment la chatte, à grands coups de langue et je bois sa mouille qu’elle décharge comme jamais. Puis j’enfonce à nouveau ma langue dans son petit trou, mes lèvres aspirent son clitoris qui n’a jamais été aussi gros, comme une petite bite. Je la suce comme on taille une pipe, à grands coups de pompage. Puis, je prends un tube de crème onctueuse et m’enduit la main. J’ enfonce progressivement un doigt, deux, trois, en les serrant les uns contre les autres puis… ma main entière s’ouvre à l’intérieur de sa chatte béante.
Je la branle à fond, je n’ai même pas à forcer l’entrée de son passage. Elle est toute ouverte à moi et à mes caresses. Je continue à lui astiquer le clito avec ma langue et mes lèvres qui la fouille dans tous les recoins. Avec des coups de plus en plus rapides et la succion de ma main qui s’empare de toute son intimité, jamais elle n’aurait cru pouvoir s’entrouvrir le sexe à quelque chose d’aussi gros …
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