Un accident de la circulation, deux victimes, des conséquences interminables.
Un vendredi de la fin du mois d’avril, dix huit heures. Le soleil brille déjà comme en plein mois de juillet et la température est franchement estivale.
Pierre, trente deux ans, responsable marketing d’un groupe international, rentre d’une semaine de déplacement dans les pays de l’ex bloc de l’est, via l’Italie où il a du donné son aval à l’une des plateformes de production du groupe pour un démarrage de nouveau produit.
Pour une raison classique de grève de la compagnie aérienne nationale Italienne, il n’a pas pu avoir son avion au départ de Tréviso. Il a du louer une voiture pour rentrer chez lui au plus vite. Compte tenu de la température qui sévit déjà dans tout le nord de l’Italie, du Mont blanc à la frontière Slovène, heureusement, il a pu louer un véhicule confortable et surtout, climatisé. Dans sept heures de route, il sera chez lui !
Il vient de faire plus de cinq cent kilomètres sur cette autoroute nord Italienne de plus en plus infernale, surchargée de poids lourds, en traversant les embouteillages démentiels du tangenciel nord de Milano.
Il est sorti de l’autoroute, il est bientôt arrivé. Il a hâte de se retrouver chez lui, il habite depuis deux ans dans les environs immédiats d’Annecy. Il est crevé, il en a marre de rouler, au sortir du tunnel du Mont Blanc, il a téléphoné au couple qui garde et entretient sa propriété durant toutes ses absences. Tout est en ordre, sa maison est prête à l’accueillir.
Pierre se trouve maintenant à six ou sept kilomètres de chez lui, traversant une petite commune qu’il connaît comme sa poche. Dans moins d’un quart d’heure il sera à poil, vautré dans une balancelle sur sa terrasse, une bière bien fraiche à la main, après s’être tapé un crawl dans sa piscine, Bob Marley à fond sur la sono, ou en tout cas du reggae…
Dès que la pression sera un peu retombée, en bon célibataire, il battra le rappel de deux ou trois copains toujours prêts à faire la fête et ils s’organiseront un week end d’enfer… Il y en a bien un qui amènera quelques copines super sympas pour un plan cul comme ils en ont le secret, la dernière fois Cédric avait amené deux insatiables qui les avaient vidés tous les trois, dans tous les sens du terme.
Il repense à cette soirée d’enfer, il n’est pas près d’oublier à quel point ces deux filles complètement accro de sexe les avaient fait planer sur un petit nuage rose pendant deux jours et une nuit.
Il se rappelle particulièrement de la douceur des lèvres de la plus jeune lorsqu’elles se refermaient précautionneusement sur…
A cet instant précis de l’évocation de ses agréables souvenirs, c’est le choc ! Soudain ! Brutal ! Imprévisible !
Un scooter avec deux jeunes dessus débouche d’entre deux camionnettes stationnées le long du trottoir, il lui coupe la route à moins de cinquante centimètres de son pare choc…. Imparable ! Pierre roule à cinquante à l’heure, mais la collision est inévitable et même à cette vitesse, l’impact est violent.
Quand sa voiture s’immobilise, les deux passagers du scooter ont déjà atterri sur le trottoir d’en face, après avoir fait un vol plané par dessus une voiture en stationnement contre laquelle le scooter est venu s’écraser… Pierre arrête son moteur, met son warning, verrouille son véhicule (un vieux réflexe acquis à force de larcins dont il a déjà été victime dans des circonstances analogues, en France comme ailleurs…) et court vers les deux gamins qui gisent, inertes, allongés au sol presque l’un contre l’autre, l’un sur le dos et l’autre face contre terre. Heureusement, ils ont tous les deux un blouson de cuir, par dessus leur survêtement, qui a du les protéger un peu lors de leur chute. Il essaye de leur parler, pas de réponse. Il pose sa main sur le cou de l’un des jeunes au ras du casque intégral, ce cou est vraiment petit, sûrement un ado de treize ou quatorze ans…. Il est soulagé, son pouls bat, il vérifie auprès de l’autre…… Lui aussi à un pouls qui fonctionne !
Oufff !!!
Il se sent déjà bien mieux… Vite ! Il faut leur porter secours !
L’un des gamins, celui qui est allongé sur le dos, commence à soulever lentement sa tête casquée qui retombe au sol, lourdement. L’un des nombreux témoins de l’accident, une femme, s’approche alors de lui et s’apprête à lui retirer son casque, Pierre n’a que le temps de l’empêcher de toucher le jeune. Il ne faut absolument pas le bouger avant l’arrivée des pompiers et du SAMU qu’un autre témoin a appelé immédiatement.
Par mesure de précaution, il enlève les baskets du gamin et en cale une de chaque côté du casque, de manière à ce qu’il ne puisse pas bouger la tête, pour le cas où les vertèbres cervicales seraient touchées. Il se retourne vers l’autre, celui qui est allongé sur le ventre…… Horreur…… ! Une flaque de sang s’agrandit à vue d’œil sous le bassin de ce corps qui, lui, n’a encore pas bougé. Pierre, aidé par deux témoins, le retourne sur le dos en accompagnant la tête casquée le plus précautionneusement possible. Il s’aperçoit alors que le sang s’échappe de l’intérieur de sa cuisse, à dix centimètres de la pliure de l’aine, par jets saccadés…..un morceau de plastique, probablement un morceau du scooter, est planté dans la chair et dépasse du pantalon de survêtement à cet endroit. Manifestement, l’artère fémorale est salement touchée, peut être même sectionnée, il faut très vite faire un point de compression sinon le jeune va mourir vidé de son sang avant l’arrivée des secours. Heureusement Pierre à effectué plusieurs formations de secouriste, il a pris la vraie mesure du danger pour le gamin et, même s’il n’a pas une grande pratique des secours réels, il a appris à faire ce genre de chose.
Il prend une espèce d’écharpe qui dépasse d’une poche du blouson de cuir, la roule en boule et appuie avec de tout son poids sur l’artère, l’hémorragie cesse aussitôt. Soulagé, tout en maintenant son point de compression, il attend les pompiers et le SAMU dont, moins de trois minutes plus tard, il entend les sirènes au loin…
Ils sont là, il peut enfin confier la responsabilité des blessés aux médecins.
Après avoir rempli le constat avec les gendarmes arrivés entre temps et qui le convoqueraient à nouveau dès qu’ils auraient établis l’identité des deux jeunes accidentés, Pierre remercie les témoins qui s’étaient présentés spontanément à lui et note leurs adresses. Il arrive enfin chez lui, physiquement crevé par son voyage et psychologiquement secoué par cet accident.
A vingt et une heure, il appelle le service des urgences de l’hôpital, il veut avoir des nouvelles des deux jeunes qui y ont été conduits. On lui dit de rappeler le lendemain matin, qu’en ce moment l’un est en chirurgie et l’autre au scanner, on ne peut rien lui dire de plus.
Samedi matin, neuf heures, Pierre rappelle les urgences, on lui dit alors que les deux jeunes, l’un s’appelant Feige et l’autre Lombard, se trouvent tous les deux dans une chambre du service chirurgie et que leurs jours ne sont plus en danger… Il peut venir les voir cet après midi s’il le souhaite, leurs parents sont déjà là.
Bien sur qu’il va y aller !
Alors qu’il se trouve encore dans le hall d’accueil de l’hôpital, juste après avoir demandé le numéro de la chambre des deux jeunes à l’hôtesse d’accueil, Pierre est abordé par deux hommes à l’allure sportive, portant bien leurs quarantaine, ce sont les pères des deux accidentés. Ils l’ont entendu demander les noms de leurs enfants à la réceptionniste.
Une fois qu’ils se furent présentés, Pierre se mit à craindre le pire, de la part de ces deux pères dont il a blessé les gosses bien malgré lui… C’est tout l’inverse qui se produisit, les deux hommes se répandirent en remerciements pour sa présence d’esprit, son intervention providentielle à la suite de l’accident dont la gendarmerie leur a expliqué les circonstances…
Il ne comprenait pas de quoi ces deux hommes voulaient parler, le père de l’un des jeunes lui expliqua alors :
– Nos deux bébés (!) venaient de partir de chez nous avec l’intention de ne plus revenir. Chacun de notre côté, on a trouvé un mot dans leurs chambres nous disant qu’on ne les reverrait jamais plus, qu’il leur était impossible de continuer à vivre avec des parents qui ne faisaient pas le moindre effort pour essayer de les comprendre etc etc… et qu’elles allaient retrouver un certain Mo qui leur avait proposé un super voyage…
Puis, quand, avertis par la gendarmerie de l’accident qui venait d’avoir lieu, ils étaient arrivés à l’hôpital avec leurs femmes, le médecin urgentiste leur a clairement expliqué que, sans l’intervention magistrale de celui qui leur avait donné les premiers soins, à l’heure qu’il est, l’une serait morte et l’autre, très certainement handicapée à vie.
– Excusez moi, mais vous êtes surs qu’on parle bien du même accident ? Ca fait deux fois que vous dites « Elles » ???
– Ben oui……… ! Aurélie et Emilie, nos deux filles………..! Elles ont eu un accident de scooter hier après midi, à six heures, route de Nanfray à Cran-Gevrier, contre une Mercedes grise immatriculée à Trévise, en Italie, c’était pas vous ?
Pierre tombe des nues !! C’est vrai qu’avec les casques intégraux dont l’une des visières était partiellement explosée et pleine de sang, les survêtements relativement amples et les cuirs qui cachaient complètement les forme des corps des deux jeunes, l’idée qu’il puisse s’agir de filles ne lui avait même pas effleuré l’esprit, ils les avait juste trouvés un peu fluets mais comme il ne connaissait pas leur âge !
Il s’agissait d’Aurélie, dix huit ans, celle qui conduisait, qui avait eu l’artère fémorale presque sectionnée par un morceau de plastique, qui avait, en plus, reçu un énorme coup au visage malgré le casque, et Emilie, la passagère, dix huit ans et demi, qui avait deux vertèbres cervicales méchamment touchées.
Les deux jeunes filles sont, à la foi exaspérées de voir « Le-connard-de-rital-qui-les-a-shootées-avec-sa-putain-de-caisse-pourrie », mais comme elles savent pertinemment qu’elles sont totalement responsables de cet accident, elles sont quand même contentes de rencontrer « Le-mec-qui-leur-a-sauvé-la-mise-comme-un-chef ».
Pierre leur remet les fleurs qu’il a acheté à la boutique du hall d’accueil lorsqu’il a apprit qu’il s’agissait de deux filles, et reste un moment avec elles et leurs mères, sans savoir très bien quoi dire ni aux unes ni aux autres. Les deux mères se présentent par leurs prénoms, Edda, la mère d’Emilie et Chantal, celle d’Aurélie.
Pierre les trouve très attirantes, il estime qu’elles doivent avoir cinq ou six ans de plus que lui. Dans d’autres circonstances, il aurait dragué, sans aucune retenue, ces deux femmes que l’approche imminente de la quarantaine rend encore plus femmes, plus désirables, surtout Edda, de toute évidence une italienne de sang, qui a des yeux magnifiques, une bouche à laisser rêveur, un sourire de madone, et de la part de qui, Pierre croit bien avoir décelé un regard faussement timide mais vraiment appuyé…
Il adore les femmes de cette tranche d’âge. Une tranche d’âge qui fait d’elles, la plupart du temps, des maîtresses hors pair. Elles ont encore un corps parfait, il y a longtemps pour elles que les tabous et autres interdits sont remisés au placard, elles bénéficient d’une expérience des choses du sexe qui en font des maîtresses inégalables et elles ont une avidité à profiter de leurs dernières années d’apparente jeunesse, qui font qu’un homme ne sort jamais intact d’entre leurs bras. On oublie assez facilement un méga canon de dix huit ans ou moins qu’on a baisée et rebaisée par tous les trous un soir de java, mais jamais ces femmes là !
Malgré tout, aussi vite que le lui permet la bienséance et sous prétexte d’obligations professionnelles bidons, il prend congé de tout le monde. Bien sur, il n’a pas oublié, par pure politesse et en bredouillant de façon à ce que ses paroles soient presque inintelligibles, invité les deux filles incapables de répondre, ainsi que leurs mères, dont l’esprit est à mille lieues de ce genre de protocole, à passer le voir, chez lui, dès que leur état de santé le leur permettrait, qu’il se ferait une joie etc, etc, etc…
Une semaine plus tard, il téléphone aux deux blessées pour savoir comment elles vont. S’il synthétise correctement les réponses que lui font les deux filles qui ne semblaient pas décidées à raccrocher, les nouvelles semblent être plutôt bonnes. Il coupe court à une communication qui semblait ne jamais devoir s’arrêter et leur promet de les rappeler dès qu’il serait à nouveau en France, puis, pris dans le tourbillon de ses obligations professionnelles et de ses voyages d’affaire, il ne rappelle l’hôpital que quinze jours plus tard pour apprendre qu’elles sont rentrées chez elles depuis la veille. Tout est bien qui finit bien ! Il les fait alors disparaître de ses pensées encore plus vite qu’elles sont entrées dans son champ de vision, un mois plus tôt.
Pour Pierre, les mois de mai et juin s’écoulent dans la fièvre des démarrages de gamme des nouveaux produits qui ne lui laissent pas un seul instant. Il doit cependant aller deux fois à la gendarmerie d’Annecy pour signer des papiers divers concernant l’accident contre le scooter et répondre par trois fois aux appels des assurances à qui il manque toujours une info, un justificatif de ceci ou cela, ou autre papier…….
Le mois de Juillet, professionnellement surchargé, comme toujours à l’approche des congés d’été, s’écoule dans une chaleur caniculaire, puis, enfin, le premier vendredi du mois d’Août arrive !
Pierre est en vacances et, particulièrement cette année, il en a vraiment un très grand besoin !
Il a décidé de passer quelques jours au calme, pour décompresser un peu, puis, avec l’un de ses copains de toujours, Bernard, qui doit d’abord venir passer deux ou trois jours chez lui, ils iront rejoindre Fred, un vieux pote à tous les deux, qui est déjà sur la côte avec pour mission de louer le plus gros catamaran qu’il pourra trouver pour les vacances.
Les trois célibataires endurcis et fanas de voile, projettent une croisière en Méditerranée au départ de Fréjus jusqu’au détroit de Bonifacio, la Sardaigne et retour par la côte est de la corse avec escale à Capri. Il ne leur manque plus que trois ou quatre minettes sympas pour compléter « l’équipage ».
Il est dix heures du matin, Pierre vient de sortir de sa première grasse matinée de ses vacances, il déjeune, à poil sur sa terrasse, à l’ombre, à côté de la piscine, un reggae dans le lecteur cd, savourant pleinement cette première matinée de congé, calme, chaude et ensoleillée.
Il est en train de penser avec plaisir, qu’en tout début d’après midi, Bernard va débarquer et rester chez lui jusqu’à leur départ pour Fréjus…!
Ils se connaissent depuis la maternelle, ils ont été dans le même pensionnat tous les deux et c’est en classe de sixième qu’ils ont échangé leurs premiers attouchements, sous la douche, comme c’est le cas la plupart du temps.
Sans être, ni l’un ni l’autre, homo au sens propre du terme ni ressentir, l’un pour l’autre, autre chose qu’une très grande affection « de copains », ils ont vraiment adoré ces caresses précises et directes qui les avaient rapidement amenés à la jouissance.
Un peu plus d’une année après leurs premières masturbations réciproques, survinrent leurs premières sodomies, réciproques également, toujours selon le même schéma sommaire, la recherche d’une jouissance immédiate, quasiment égoïste.
Entre eux, pas de caresses sophistiquées, pas de préliminaires « sentimentaux », pas de baisers sur la bouche, ni sur aucune autre partie de leurs corps d’ailleurs.
Leur scénario est simple : je te prépares l’anus avec soin tout en te masturbant un peu, je t’encules, je jouis. On récupère un peu, tu me prépares l’anus avec le même soin, tu m’encules, tu jouis et basta !
Ils ont cependant continué à entretenir épisodiquement ce genre de relation qui leur procure toujours, à tous deux, un plaisir complexe, bestial, incomparable.
Cela ne les empêche pas d’être deux dragueurs acharnés, d’adorer les femmes de façon immodérée et de se les partager systématiquement lors de leurs nombreuses soirées de délire.
Pierre en est là de ses pensées lorsque le carillon du portail se fait entendre…
Ça ne peut pas encore être Bernard, il ne doit arriver qu’en début d’après midi, en plus il ne sonne jamais, il a les clés du portail et de la maison.
Il rentre dans le hall en maugréant, demande qui est là par l’interphone, et sans avoir vraiment compris ni de quoi, ni de qui il s’agissait, franchement contrarié, il appuie sur le bouton d’ouverture de la porte.
Il a simplement entendu une voix féminine lui parlant de l’accident qu’il avait eu au mois d’avril contre un scooter…
Raz le bol de cet accident ! Il en a beaucoup trop entendu parler de ce p….. d’accident dans lequel il n’est strictement pour rien. Il lui a déjà fait perdre beaucoup trop de temps, cet accident à la c.. avec ces deux pisseuses déjantées en crise d’adolescence à retardement !
Alors, si cette histoire vient, en plus, empiéter sur ses vacances, il va se mettre en colère, très en colère !
Il devient instantanément de mauvaise humeur, excédé par ce roman fleuve qui n’en finit pas…. En râlant, il enfile un bermuda qui traîne sur un fauteuil et ressort pour recevoir cette emmerdeuse, certainement envoyée par les assurances.
Tiens ! En plus elles sont deux, ni l’une ni l’autre n’a d’attaché case à la main, ce qui surprend un peu Pierre, mais il préfère toutefois se replonger dans l’examen détaillé du corps de ces deux minettes qui arrivent vers lui par la longue allée parsemée de marches qui monte du portail jusqu’à la terrasse. Elles sont vêtues, l’une et l’autre, de petites robes d’été hyper courtes et ultra légères à fines bretelles, visiblement sans grand chose dessous, en tout cas pas de soutien gorge, accessoires dont se passent allègrement leurs poitrines menues mais superbes. Elles ont la peau dorée de celles qui ont déjà pris leurs vacances. L’une est brune aux cheveux longs attachés en une fausse queue de cheval qui lui donne un charme sauvage, l’autre châtain clair aux cheveux courts et frisés.
Au fur et à mesure qu’elles s’approchent de lui, Pierre se dit que ces deux petites merveilles, visiblement issues, sinon du même moule, du moins d’un modèle similaire, feraient mieux de s’occuper de lui et de sa libido que leur vue commence à titiller furieusement, plutôt que de venir lui casser les c…, lors de sa première matinée de vacances, avec des problèmes administratifs à la c… !
Enfin, la vue de ces deux minettes superbandantes calme un peu sa grogne naissante.
Arrivées devant lui, un magnifique sourire aux lèvres, la brune lui dit :
– Vous ne nous reconnaissez pas ?
Aie… !!
Non, il ne les reconnaît pas ! Pas le moins du monde même !! Il a d’ailleurs la quasi certitude qu’il ne les a jamais vues… Il s’en souviendrait… Deux petites bombes de ce gabarit et avec ces visages là en plus… !
Pierre n’aime pas du tout ce genre d’entrée en matière. Pendant quelques secondes, il essaye de se remémorer à toute allure où il aurait bien pu déjà rencontrer ces deux nymphettes, mais rien ne lui revient.
Si ça se trouve, il les a draguées un soir de java avec son pote Bernard, ils les ont peut être même baisées et rebaisées toutes les deux et il ne se souvient plus d’elles…
Si c’est le cas, pourvu qu’il ne leur ait rien promis qu’il aurait oublié !
Oui, mais … elles ont parlé de l’accident contre ce p…. de scooter… Comment pourraient-elles savoir ?
Pour mettre fin aux cogitations visiblement stériles de Pierre, la seconde minette ajoute alors, avec un sourire éclatant :
– Emilie et Aurélie…….! Vos « victimes »….! Vous êtes venu nous voir à l’hôpital……!
Pierre est sidéré…! Il avait le souvenir de deux amas informes et sanguinolents, habillés de casques, de cuirs, de survêtements sans forme et dont il ignorait même, au début, qu’elles étaient des filles.
Puis, lorsqu’il était allé les voir à l’hôpital, il en avait gardé le souvenir anonyme de deux corps traumatisés, recouverts tant bien que mal des mêmes horribles chemises d’hôpital, le visage bleui d’hématomes, les différentes cicatrices et autres sutures jaunies par la bétadine, les mêmes perfusions, drains et tuyaux divers plantés partout, le même teint cireux, les mêmes yeux angoissés noyés de souffrance, les mêmes mains tuméfiées et écorchées aux ongles encore pleins de sang séché, posées sur le drap, immobiles…
En plus, l’une d’entre elles portait une minerve monstrueuse qui remontait jusqu’au sommet de la nuque et déformait ses joues…
Le profil type de l’accidenté standard, absolument pas identifiable ni reconnaissable par quiconque, sauf par sa mère, et encore !
Mais là, devant lui, il avait la beauté resplendissante de deux visages ravissants et souriants aux yeux pétillants de malice, les formes admirables de deux corps magnifiques, attirants, dorés par le soleil, deux sourires éclatants de gaieté, de bonne humeur, la vie quoi !
Comment aurait-il pu les reconnaître ?
Il sourit et ouvre ses bras, Aurélie s’y précipite et lui fait la bise, Emilie suit immédiatement… Après ces embrassades sincèrement émues et cette agréable surprise, il leur propose de déjeuner ensemble à midi, ce qu’elles acceptent volontiers, mais avant, dès qu’il aura fini son petit déjeuner, de piquer une tête dans la piscine avec lui si ça les tente…
Sans leur laisser le temps de répondre à cette dernière proposition, Pierre les saisit toutes les deux par les épaules, les amène jusqu’à la table du salon de jardin ou son petit déjeuner l’attend toujours en leur disant :
– Première obligation absolue, d’abord on s’assied et surtout, on se tutoie !
Pendant que Pierre terminait son petit déjeuner, les deux filles lui ont retracé en riant la fin de leur parcours hospitalier, leurs rééducations et autres joyeusetés post traumatiques, puis leur « réconciliation » heureuse et émouvante avec leurs parents respectifs, mais surtout, l’arrestation, il y a moins de huit jours, pour proxénétisme aggravé trafic d’êtres humains et complicité de meurtre, de ce Mo qu’elle s’apprêtaient à aller retrouver lorsqu’elles s’étaient jetées involontairement devant sa voiture avec leur scooter.
C’est l’arrestation de Mo, et surtout son motif, qui leur a vraiment fait réaliser ce à quoi elles avaient échappé « grâce » à cet accident et qui les a décidé à venir lui témoigner leur réelle gratitude au plus vite..
Aurélie termine en lui disant que, dans leurs familles et depuis le dénouement heureux de cet accident, mais encore plus depuis l’arrestation de ce Mo, le principal sujet de discussion, c’est lui, Pierre.
Leurs pères ne tarissent pas d’éloges quand à la maîtrise de ses gestes de secouriste et sa sympathie….
Leurs mères, elles, se contentent d’apprécier « pudiquement » la gentillesse, le sang froid et l’aspect très sécurisant « de-ce-beau-mec-hyper-craquant » qu’il faudra absolument qu’elles viennent remercier personnellement, dès leur retour de vacances…
Quand aux deux filles, elles reconnaissent qu’elles lui doivent chacune au moins deux fois la vie et elles comptent bien s’acquitter de cette dette, d’une manière ou d’une autre, qu’il le veuille ou non.
Comme il n’y a pas cinquante mille manière, pour une fille de leur âge, de s’acquitter de ce genre de « dette » envers un homme, maintenant, au moins, les choses sont on ne peut plus claires !
Après toutes ces confidences pleines d’émotions et de reconnaissance, qui ont bien duré une grosse heure, ce qui ne leur laissait pas beaucoup de temps pour profiter de la piscine avant le repas de midi, Pierre se jette dans l’eau qui n’attend plus qu’eux ! Il se retourne en leur tendant les bras…
– Alors ? Vous venez les filles ?
Emilie, un peu gênée, lui dit :
– Ben… C’est que… On n’avait pas prévu ça du tout… Déjà, on ne savait pas si on allait te trouver chez toi et en plus on ignorait complètement que tu avais une piscine… Alors, évidement… on n’a pas de maillots…
– A la guerre comme à la guerre ! Baignez vous en culotte, ou toutes nues ! Je ne vous regarderais pas, si vous voulez…! Et si le fait de vous mettre à poil devant quelqu’un qui a un short vous gène, j’enlève le mien….!
Cinq secondes après, Pierre brandit son boxer au dessus de sa tête et le jette sur le bord de la piscine.
Les deux filles se consultent brièvement du regard, puis font voler leurs robes ainsi que leurs strings microscopiques sur une balancelle et plongent comme deux sirènes, venant ressortir en riant juste devant Pierre.
La fin de matinée dans la piscine est délicieuse, les complexes envolés.
Maintenant les deux minettes se font sécher au soleil, entièrement nues, allongées sur le ventre, les jambes largement écartées face au soleil, pour ne pas avoir de zones claires et elles n’en ont pas, ni entre les cuisses, ni entre les fesses, pas plus que de trace de maillot d’ailleurs.
De toute évidence ces deux minettes sont des adeptes du naturisme, ce qui explique la facilité avec laquelle elles ont accepté la proposition de Pierre et se sont jeté à l’eau, devant lui, complètement nues…
Pierre ne veut pas précipiter les choses, mais la vue superbe que lui offrent les deux filles, déclenche d’agréables fourmillements dans son bas ventre.
A regarder ces deux minettes lui présentant leurs corps totalement épilés et leurs entre jambes délicieux, largement exposé aux rayons du soleil, ce qui lui a permis de pouvoir longuement admirer les deux abricots charnus et admirablement bien dessinés de ces deux nanas plus qu’appétissantes, surmontés de leur petites rondelles roses pâle et délicieusement froncée ! Il s’est bien juré de ne pas les laisser repartir de chez lui avant d’avoir consommé au moins l’un de ces deux fruits tendres et juteux… Les deux si elles lui en laissent le temps !
Pour le repas de midi, le choix est simple, soit il les emmène au restau, soit il fait livrer un couscous, un chinois ou une pizza et ils mangent là, sur la terrasse. Les deux filles optent pour un chinois sur la terrasse, elles n’ont pas envie de retourner en ville dans la cohue habituelle des touristes.
Pierre commande immédiatement le repas à son traiteur chinois habituel et sert l’apéritif en attendant la livraison prévue dans une grosse demi heure.
Ils sont tous trois assis dans la balancelle, un verre à la main, riant de tout et de rien, des blagues de l’un ou de l’autre, ils sont toujours à poil tous les trois, ils se rhabilleront au dernier moment, quand le livreur arrivera.
Ils se sentent bien ensemble. A ce moment précis, ils ont l’étrange impression de se connaître depuis toujours.
Les années d’écart entre les filles et lui n’existent pas.
Les contacts de leurs jambes sont de plus en plus fréquents, d’abord furtifs, puis, de plus en plus longs et appuyés, pour finir, chacun se laisse aller sans aucun complexe, leurs peaux se touchent au gré de leurs positions et de leurs mouvements, sans plus aucune gène. Ils traversent un moment rare de la vie, de quiétude, de plaisir d’être ensembles, de rire des blagues de l’autre sans chichis, ils se comprennent, il s’apprécient réellement…
Et puis, en plus de la connivence complice qui s’est installée, il y a la vie entre eux, celle des deux filles, que Pierre a sauvées… Sans qu’aucun ne s’en rende compte encore, maintenant qu’ils se connaissent mieux et se sont un peu confiés les uns aux autres, cela rend le trio indissociable, alors qu’il y a moins de trois heures ils ne s’étaient pour ainsi dire jamais vus.
Pierre passe délicatement les doigts sur la cicatrice boursouflée qu’Aurélie porte à l’intérieur de la cuisse, séquelle encore mal résorbée de la blessure provoquée par ce gros éclat de plastique qui s’était planté dans sa chair et lui avait ouvert l’artère lors de l’accident. La cicatrice est violette et encore enflée…
La caresse, commencée avec le bout de l’index et qui se poursuit avec la main entière, va forcément dévier, glisser lentement quelques centimètres plus haut sur cette cuisse satinée, vers cette chatte totalement imberbe et délicatement ourlée que, de toute évidence, lui offre sa propriétaire sans le moindre complexe…
Le livreur chinois sonne au portail. Pierre renfile son short encore trempé et les deux filles s’enroulent dans les sorties de bain humides.
Dès que le livreur est reparti, tout le monde se retrouve instantanément à poil de nouveau, la table est mise en vitesse, Pierre débouche une bouteille d’un excellent Bandol rosé bien frais qui fait la joie des deux filles.
Ils commencent à manger dans une ambiance bruyante et chahuteuse, la première bouteille n’ayant même pas survécu aux nems qui faisaient office d’entrée, une seconde bouteille a été ouverte, les esprits sont chauds…Très très chauds !
C’est Emilie qui commence vraiment à donner le signal du dérapage. Lorsque Pierre lui demande de lui faire goûter une de ses gambas sauce piquante, elle décortique la bestiole et la lui tend en la tenant entre ses dents ! Le changement de bouche de la bestiole rose dura largement trente secondes.
Aurélie demande ensuite à Pierre de lui faire goûter un champignon chinois, ce qu’il fait aussitôt, à peu près de la même manière, sauf que le champignon prétexte est posé sur sa langue, leurs lèvres se soudent et elle vient chercher elle même le champignon dans la bouche de pierre avec sa langue…
Même scénario pour le dessert avec les fruits confits exotiques qu’ils s’échangent de la bouche à la bouche, faisant durer exagérément ces échanges de nourriture accompagnés par la langue visiteuse du donneur…
La bite de Pierre est dressée comme un mât sous la table et s’ils ne changent pas très rapidement de jeu, il sent qu’il va sauter sur les deux minettes et les baiser comme elles ne l’ont probablement jamais été.
La seule chose qui le retient un peu est qu’il attend son copain Bernard d’une seconde à l’autre et qu’il ne veut pas commencer sans lui. Il veut retarder un peu ce moment de plaisir qui s’annonce génial et qu’ils partageront tous ensemble. Il lance alors un défi qui doit, normalement, calmer provisoirement son érection incontrôlable
– Bon, allez les filles, on plonge tous les trois, on fait deux longueur de bassin en apnée totale, le dernier arrivé ou qui sort la tête de l’eau avant d’avoir fait ses deux bassins débarrasse la table, sert le café et s’occupe du lave-vaisselle….!
Les trois plongeons éclaboussent la terrasse dans le même dixième de seconde. Pierre arrive en premier, suivi d’Emilie qui émerge sous son nez et passe ses bras autour de son cou en plaquant son corps contre lui. Il va avoir du mal à ne pas recommencer à bander, d’ailleurs, c’est reparti !
Aurélie arrive, trois longueurs après tout le monde, en pestant contre sa blessure à la cuisse, encore très douloureuse, qui l’a fait perdre, et que c’est pas juste, et que…
Elle s’accroche également au corps de Pierre, plaquant sa petite motte lisse et caressante contre sa hanche…
A ce contact, Pierre perd toute maîtrise sur son érection qui tend sa bite comme un ressort. Une main s’en saisit sous l’eau et commence à le caresser lentement… Aurélie ou Emilie ???
Des lèvres se sont posées sur les siennes et une langue fouille sa bouche, presque jusqu’aux amygdales…
Il a une des filles plaquée contre son ventre et l’autre dans son dos et elles tournent autour de lui. Les mains qui le masturbent se relaient sur son pieu raide comme une barre.
De son côté, il touche et caresse des seins, des chattes ouvertes et accueillantes, des fesses et des petits trous frémissants et soudain, il sent son ventre et ses reins s’embraser. La main qui le branle à ce moment, atteint son but en un temps record, il sent ses couilles se crisper dans une autre main douce qui les emprisonne délicatement tandis que des doigts caressent ses fesses et s’aventurent entre elles, glissant sur son petit trou…la main qui tient sa queue accélère son mouvement et c’est l’explosion de jouissance pour Pierre.
Il éjacule en poussant un gémissement sourd, écrasant l’une des filles contre son flanc, tandis que la main qui le masturbe est toujours refermée sur sa queue en train de se vider à grands jets, dans l’eau de la piscine…
Pierre reprend ses esprits, la langue qui fouillait sa bouche s’est éloignée, les corps des deux filles sont entièrement plaqués contre le sien dans une étreinte délicieuse…… Il demande en souriant :
– Laquelle a fait ça ?
– Mais toutes les deux ! Pourquoi ? C’était pas bien….?
Ils éclatent de rire, restent enlacés tous les trois quelques minutes et sortent de l’eau pour aller prendre le café sur la terrasse.
Café à table, Saké dans la balancelle pour faire descendre ce délicieux repas asiatique, re-Saké…
Les caresses recommencent, délicieusement efficaces… La bite de Pierre est à nouveau au garde à vous, pour le plus grand plaisir d’Emilie et d’Aurélie qui recommencent à passer leurs doigts dessus avec douceur, tandis que ses deux mains à lui sont posées sur chacune des deux chattes totalement offertes et accessibles, de chaque côté de lui.
La bouche d’Emilie descend doucement sur la poitrine de Pierre, sur son ventre, elle s’approche lentement de sa bite raide comme un mat et l’aspire jusqu’au fond de sa gorge.
C’est à ce moment que son ami Bernard fait irruption sur la terrasse en faisant le guignol et en rigolant, comme à son habitude.
Les deux filles se redressent vivement, surprises par cette arrivée imprévue. Bernard attrape alors la bite de Pierre à pleine main et fait mine de la branler en demandant :
– c’est pour laquelle, ça ?
Sous les rires déchaînés des deux filles complètement désinhibées et même plus que parties à cause de tout ce qu’elles ont bu depuis qu’elles sont arrivées ici.
Elles ne connaissent pas Bernard mais le jettent quand même, tout habillé, dans la piscine où il entraîne Aurélie avec lui. Cela lui donne le prétexte de se mettre immédiatement au diapason en se déshabillant entièrement dans l’eau, activement aidé par Aurélie dont les mains glissent avec insistance sur certaines parties de son corps, déclenchant son érection immédiate.
Deux longueurs de bassin et ils ressortent tous les deux. Bernard met une grande claque sur l’épaule de Pierre en le charriant sur le secret dont il a entouré la présence de ses deux magnifiques copines qui sont super sympa, et avec lesquelles ils vont faire une croisière géniale et que…
Pierre et les deux filles se regardent en silence, l’ambiance semble se figer… Bernard s’en aperçoit, il se tait un peu, puis lâche, toujours rigolard :
– J’ai dit une connerie là ?
– ……………
– Ben quoi ?
– C’est que… Emilie et Aurélie ne sont pas exactement des copines, enfin… pas comme d’habitude, je veux dire… pas comme tu le penses, enfin…. En tout cas, elles n’étaient venues que pour me dire bonjour et déjeuner avec moi…
– Ouais….. !!! C’est ça !! Ironisa Bernard en rigolant de plus belle, et quand je suis arrivé et que je vous ai trouvés tous à poil sur la balancelle, tes deux main sur leurs chattes, c’était pour vérifier leur pouls et ta bite raide comme une bôme enfoncée dans la bouche de cette déesse, c’était pour lui prendre la température, évidemment !!!
Grand éclat de rire…! Puis Aurélie explique à Bernard, en quelques phrases, quels sont leurs rapports avec Pierre, qu’elles sont effectivement venues à l’improviste et qu’à aucun moment il n’a été question qu’elles restent chez Pierre après le repas.
Emilie termine en affirmant qu’elles doivent réellement la vie à Pierre et même plus, quelles étaient venues uniquement dans le but de lui témoigner leur gratitude et leur sympathie, mais qu’elles ne veulent surtout pas les déranger…
Le spectacle aurait été du plus haut comique pour quelqu’un arrivant sur la terrasse à l’improviste : Deux hommes à poil, dont les bites sont encore à moitié bandées, devant deux filles superbes entièrement nues également, et tout ce monde discutant, debout, avec des mines sérieuses, dans un silence pesant…
Bernard, qui entrevoit déjà une suite intéressante, compte tenu de ce qu’il vient d’apprendre, lance en rigolant :
– Et bien moi, je suis sur que Pierre allait vous demander de rester…. Hein Pierrot ?
– En fait, oui, Bernard a raison, j’aimerais beaucoup que vous restiez avec nous quelques jours… Et même si vous vouliez nous accompagner en croisière, j’en serais vraiment content, pas vous ?
Les deux filles se regardent, sidérées par la proposition. Jusqu’à présent elles n’ont jamais envisagé qu’elles auraient, un jour, la chance de passer des vacances sur un bateau, c’est un rêve que Pierre leur amène sur un plateau. Elles en bégaient, ne trouvent plus leurs mots.
– C’est que…. Nous, oui, tu parles… Avec joie même…! C’est… C’est… Dingue ! Enfin, on veut dire… C’est génial…! Mais… Nos parents… Il faut qu’on les avertisse d’abord !
Pierre saute sur le téléphone.
– Donnez moi leurs numéros de portable, je m’en charge……
Les parents, depuis leur lieu de vacances, acceptent, sans l’ombre d’une hésitation, que leurs filles partent pour ces trois semaines de croisière avec Pierre. Comme dit le père d’Emilie « Avec vous, je sais que ma fille est entre les meilleurs mains qui soient au monde ! ». Comme le haut parleur du portable est activé, tout le monde entend cette réflexion et c’est un éclat de rire général !
Bernard attrape Aurélie et se lance à nouveau dans l’eau avec elle, Emilie vient se coller contre Pierre, elle lui tend ses lèvres, souhaitant visiblement qu’il lui fasse une démonstration du talent de ces « meilleurs mains qui soient », entre lesquelles son père la sent tellement en sécurité. L’après-midi fut horizontal, humide et pénétrant.
Chacune des deux filles a explosé plusieurs fois et bruyamment de jouissance, alternativement entre les bras des deux garçons.
Le ton des jours à venir est définitivement donné…
Vers cinq heures, pendant que Bernard dort dans la balancelle, Pierre emmène les deux filles chez elles pour prendre des affaires, puis les ramène avec lui pour le reste des vacances. Bernard se réveille au retour du trio, il prend Emilie dans ses bras et saute dans la piscine en l’embrassant. Pierre attrape Aurélie à son tour et après lui avoir enlevé sa robe, son seul et unique vêtement, se laisse également tomber dans l’eau en plaquant sa bite déjà dressée contre la motte délicate de la jeune fille.
Tous les quatre font longuement l’amour dans l’eau et, après un orgasme quasi synchrone, tout le monde ressort et s’allonge sur les serviettes au bord de la piscine, les filles sont comblées, les garçons vidés, tout le monde somnole une grosse demi heure.
Il est sept heures et demie, Pierre propose de prendre l’apéritif sur la terrasse, puis d’aller se faire un restau sympa au bord du lac.
Tout le monde est partant et la soirée se passe dans une ambiance comme on les aime, décontractée, tendre, gaie, érotique. Les filles sont sous le charme des garçons et vice versa. Dans la voiture qui les descend en ville, chacun est occupé à se remémorer, en pensée, les meilleurs moments de cet après midi délicieux passée à faire l’amour et chacun réfléchit à ce qu’il aimerait faire à nouveau en rentrant tout à l’heure.
Le repas est super, les garçons mettent l’ambiance en racontant leurs galères lors de leurs voyages permanents dans le monde, les filles, pleines de gaieté rient de ces histoires.
Les caresses discrètes sont de plus en plus insistantes, les filles ont le bout des seins qui pointent à travers le tissus léger de leurs robes leurs chattes commencent à s’engluer de désir.
Sous leurs légères et minuscules robes d’été, elles sont nues comme des vers et les garçons le savent parfaitement, ce qui donne une ambiance très particulière à leur soirée.
Les garçons, eux, ont une trique d’enfer que les filles ne se gênent pas pour les caresser fréquemment sous la table… Ce sont deux couples étroitement enlacés qui quittent le restau et gagnent leur voiture.
Arrivés à la maison Pierre fait se dérouler l’immense store qui couvre la terrasse et la piscine pour les protéger de la fraîcheur de la nuit, allume les projecteurs immergés, se déshabille en un clin d’œil et se jette dans l’eau lumineuse.
– Qui m’aime me suive…..
Tout le monde suit, se fait un bassin à toute allure pour se délasser puis retourne dans la zone peu profonde.
Une fois tout le monde regroupé, debout dans l’eau jusqu’à la poitrine, Aurélie annonce à Pierre qu’elle et Emilie ont quelque chose de très important et très urgent à lui dire :
– On a discuté toutes les deux aux lavabos du restaurant tout à l’heure et comme les choses ne se passent pas du tout comme elles auraient du, qu’on à déjà fait l’amour toute les deux avec Bernard cet après-midi sans te consulter avant, on est tombées d’accord pour que les choses soient claires. Alors voilà ce qu’on veut te dire, Pierre. On te doit beaucoup plus que la vie, mais malgré cela, si tu ne nous avait pas plu, si on avait pas eu l’occasion de se rendre compte que tu es quelqu’un de génial, on serait parties et tu ne nous aurait jamais revues… Seulement, on est bien avec toi, tu es vraiment un mec extraordinaire et gentil, on a envie de rester quelques jours, envie de faire cette croisière avec toi, envie de faire l’amour avec toi, parce qu’avec toi on est bien dans notre tête, parce qu’on est bien entre tes bras, contre ton corps.
La voix d’Aurélie baissait et tremblait d’émotion. Elle continua :
– On a envie de faire l’amour toutes les deux avec toi, autant que tu le voudras, comme tu le voudras parce que cela nous plaît énormément, on le fera uniquement avec toi si tu le souhaites, ce sera notre manière sincère de te remercier un peu pour tout ce que tu as fait pour nous et ce ne sera que le millième de ce qu’on te doit. C’est un cadeau qu’on voudrait très beau pour toi, qu’on te fait de tout notre cœur et, de tout notre cœur, on a vraiment envie que tu l’acceptes notre cadeau… s’te plaît…
L’atmosphère se met brutalement à peser cinq mille tonnes, le silence aurait empêché un transal de décoller tellement il est lourd. Les deux filles regardent Pierre. Il a perdu son sourire, il a l’air grave et ému… Pour une fois, Bernard se tait, il ne fait pas le pitre, il aurait aimé pouvoir rentrer dans un skimer de la piscine tellement il se sent de trop face à cette bouleversante profession de foi, d’ailleurs il réussit à s’éclipser en toute discrétion, sans que personne ne s’en aperçoive.
On n’entend plus que le chant des grenouilles dans les mares voisines, au bout d’une éternité, Pierre tend les bras aux deux filles en leur disant :
– Je vous adore vraiment, je vous remercie de ce que vous venez de me dire, c’est tellement émouvant que j’en suis tout chose, mais ne regrettez rien de ce qui s’est passé cet après-midi et si vous en êtes heureuses, alors ne changeons rien. Bernard est plus que mon frère, et Fred, que nous allons rejoindre sur le bateau aussi. J’aimerais, si vous le voulez bien, qu’il n’y ait aucune gêne entre nous et que vous fassiez exactement ce que vous voulez, avec qui vous voulez, autant que vous le désirez et si vous voulez faire l’amour avec Bernard ou Fred devant moi, c’est comme si je participais aussi, soyez certaines que je prendrais un immense plaisir à vous regarder !
Les deux filles se jettent dans les bras de Pierre, elles y restent blotties pendant de longues minutes dans une étreinte délicieuse, le visage enfoui au creux du cou de Pierre qui ne dit plus rien, il caresse les nuques, les épaules, doucement. C’est un moment magique, un moment de vraie émotion, de mise à poil de l’âme.
PLOOOOP !! le bouchon de champagne que Bernard vient de faire sauter tombe dans l’eau, pile à coté du trio enlacé et silencieux, la musique reggae « kolé séré » de Philippe Lavil démarre en même temps, l’ampli à fond.
Tout le monde éclate de rire et sort de l’eau, l’émotion provoquée par le discours des filles retombe peu à peu mais l’ambiance en est imprégnée d’une profonde douceur et de beaucoup de romantisme, c’est une fin de soirée toute en nuances et en délicatesse qui démarre par un toast à la beauté et à la gentillesse des filles, à l’amour et aux vacances.
La danse et le champagne occupent une bonne partie de la soirée, puis, Bernard enlace une fois de plus le corps d’Aurélie qui cherche des yeux l’assentiment de Pierre, celui ci le lui donne d’un petit clin d’œil complice, puis, Emilie et lui s’allongent sur un grand matelas de mousse recouvert de sorties de bain.
Emilie veut faire l’amour à Pierre, elle toute seule, elle veut qu’il se contente uniquement de savourer, et de jouir de tout son corps. Elle couvre son visage de mille baisers furtifs, fait glisser ses lèvres et sa langue dans son cou et sur tout son torse pendant que sa chatte trempée caresse lentement la bite déjà bandée comme une barre de fer.
Elle fait subir longuement, à ses tétons, le doux supplice de sa bouche brûlante… Les râles de Pierre sont assez représentatifs du plaisir que lui procure ces caresses. Elle interdit aux mains de Pierre le moindre contact avec son corps, elle veut qu’il n’en puisse plus de désir, elle veut qu’il explose dès que sa chatte aura englouti sa bite !
Elle le supplicie délicieusement, elle fait courir ses doigts sur son ventre et sur le haut de ses cuisses, tout autour de ce mât impatient sans jamais même l’effleurer.
Elle a changé de position, son visage se trouve à la hauteur de la bite palpitante et tendue, parcourue de soubresauts de désir de plus en plus fréquents et intenses.
Pierre la regarde, il veut qu’elle le prenne dans sa bouche, mais elle dépose des baisers mouillés sur ses cuisses largement écartées, tout autour de ce sexe bandé à mort et de ces couilles crispées, elle fait courir ses doigts entre les cuisses de Pierre, sur la naissance de ses fesses, elle pose sa tête sur son ventre tendu, sa bouche à moins d’un centimètre de ce pieux violacé, au bord de l’explosion, le méat du gland déverse un filet continu de liquide transparent. Ses mains parcourent ses cuisses, son ventre, son torse, d’une caresse d’ange.
Elle prend de plus en plus de plaisir à le rendre fou et malgré l’envie de faire l’amour comme une bête qui lui tord le ventre et fait ruisseler sa chatte, elle continue à le caresser de ses lèvres et de ses doigts.
Elle s’installe, finalement, à quatre pattes entre ses cuisses écartées, face à lui, sa bouche frôlant presque sa queue. Elle fixe ses yeux qui se ferment parfois sous l’intensité du désir, elle engloutit alors très lentement ce sceptre du bonheur entre ses lèvres, jusqu’au fond de sa gorge, en l’excitant de sa langue tout en caressant les couilles de sa main.
Les yeux de Pierre se ferment, ses mâchoires et ses traits se crispent, un grondement de plaisir s’échappe de sa gorge, un coup de rein incontrôlable enfonce sa bite encore plus loin dans la bouche d’Emilie. Il a l’impression qu’il n’arrivera pas à retenir l’explosion qui couve dans son ventre, il pense rapidement à autre chose qu’à cette caresse divine sinon…
Emilie ressort entièrement la queue de sa bouche, la cajole avec sa langue qui glisse lentement sous le gland énorme et violacé, elle l’aspire, le laisse ressortir de ses lèvres, puis recommence, encore…
Mais son but est de faire plaisir à Pierre, pas de le torturer et encore moins de le faire jouir dans sa bouche, du moins pas cette fois…!
Elle lâche finalement ce sceptre au bord de l’explosion, enjambe le corps de Pierre et laisse sa chatte ruisselante d’envie s’empaler lentement sur cette queue impatiente, qu’elle maintient d’une main, en bonne position.
Le spectacle de cette fille le chevauchant langoureusement, de cette chatte imberbe, écartelée et dégoulinante, engloutissant sa bite tendue comme un pieu, de ces seins au bouts érigés et dur de désir qui dansent devant ses yeux au rythme des empalement sur sa bite, de ce corps de fée qui lui fait l’amour, de ces yeux attentifs à son plaisir, le conduit inexorablement vers le bord du gouffre de la jouissance dans lequel sa volonté ne peut plus l’empêcher de sombrer.
Il ne maîtrise plus rien, ses deux mains caressent les deux seins arrogants qui défient son regard, une main d’Emilie passe alors derrière elle et caresse délicatement les couilles crispées, collées à sa chatte…
L’explosion de leurs deux corps est immédiate, violente, sauvage. En même temps que leurs gorges laissent échapper un râle sourd et puissant, Emilie sent un flot de sperme inonder violemment son ventre, les mouvements brusques et incontrôlables des hanches de Pierre projettent sa bite pleine se soubresauts jusqu’au fond de ses entrailles.
Emilie vibre au même rythme sous les vagues de son orgasme, longtemps, très longtemps !
Puis la tempête se calme un peu dans leurs organismes, elle allonge son corps sur celui de Pierre, pose son visage dans le creux de son épaule et ferme les yeux, la queue qui vient de déverser ce torrent de jouissance au fond de son ventre toujours enfoncée en elle.
Elle savoure l’instant magique, sans un mot, sans un geste, elle sent une main caresser son visage et ses lèvres, le pieu d’amour, toujours enfoui en elle encore parcouru de petits spasmes de plaisir, diminue doucement de volume dans sa chatte comblée.
Ils restent longtemps comme ça, sans bouger, ils sont biens, ils entendent soudain Aurélie pousser un long râle de jouissance, les jambes serrées autour des reins de Bernard qui se vide en elle en la pénétrant violemment et en grognant comme un ours.
La douce chaleur de cette nuit d’été les fait s’endormir tels qu’ils se sont arrêtés de faire l’amour, Aurélie dans les bras de Bernard et Emilie allongée sur le corps de Pierre….
C’est le cri insistant d’une chouette posée sur un arbre du parc qui, à trois heures du matin, réveille tout le monde. Pierre suggère qu’ils rentrent dormir à l’intérieur, mais la température est telle que tous préfèrent rester dehors. Il propose alors un café que tout le monde accepte, les deux hommes rentrent pour faire le service, lorsqu’ils ressortent de la maison, cinq minutes plus tard, les deux filles ont accolé les deux matelas de mousse et sont enlacées toutes les deux au centre de ce gigantesque lit improvisé, en train d’échanger le baiser le plus émouvant que les hommes n’ont jamais vu.
Pierre et Bernard s’assoient sur la balancelle et attendent que les deux filles se séparent, ce qui ne semble pas devoir se faire rapidement. Les mains des filles courent en délicates caresses sur le corps de l’autre et leurs langues continuent à se fouiller et se caresser dans de douces pénétrations humides.
Aurélie se retourne et se met en position de soixante neuf au dessus d’Emilie, les langues et les doigts se déchaînent, visitant les chattes et les petits trous, sur fond de soupirs de plaisir.
Ce spectacle d’un érotisme torride et d’une beauté infinie dure jusqu’à ce que les deux corps superbes soient parcourus de spasmes de plus en plus rapides pour ne plus être qu’une immense vibration accompagnée de deux plaintes étranglées de jouissance totale.
Puis tout s’arrête, le silence retombe, les corps se détendent, se relâchent.
Les deux filles restent de longues minutes dans cette position si sensuelle, puis elles se séparent et viennent toutes les deux se coller contre Pierre qui bande comme l’obélisque et parcourent son visage et sa bouche de leurs lèvres et de leurs joues trempées du jus de leurs jouissances en lui murmurant :
– Cadeau !
– Qu’est ce que vous étiez belles ! Promettez-moi de recommencer !
– Pas de problème, autant de fois que tu le voudras et même plus, sois en certain !
Bernard se manifeste alors impatiemment :
– Et moi, non ? j’ai pas droit au double bisou ?
Tout le monde éclate de rire, les deux filles viennent lui offrir leurs lèvres et leurs langues en même temps, puis chacun boit son café.
Les deux filles sont un peu sous le feu des questions pendant quelques secondes, mais elles coupent court à toutes les demandes de précision un peu maladroites des garçons.
Emilie explique simplement qu’elles sont bi toutes les deux, qu’elles ont des relations sexuelles ensemble depuis le plus vieux qu’elles se souviennent.
Elles n’en éprouvent aucune gène et elles ne s’en cachent même pas, devant leurs parents non plus. Le profond et solide sentiment qui existe entre elles les protège moralement des calomnies que certains ou certaines font courir à leur sujet et enfin, personne ne les empêchera de continuer à s’aimer et à faire l’amour ensemble.
Les deux garçons sont tout à fait d’accords avec elles, surtout que, comme dit Pierre, bien qu’entre Bernard et lui il n’existe qu’une profonde amitié, cela ne les empêche pas, de temps à autres d’avoir des relations sexuelles ensembles également…….
Aurélie et Emilie s’écrient en chœur en battant des mains :
– Ouaiii !! Super !! Depuis le temps qu’on avait envie de voir deux hommes faire l’amour ensemble !! Vous voulez bien le faire pour nous, devant nous, hein ? D’accord ? Vous serez des anges !!
Bien entendu Pierre et Bernard promettent, ils leur doivent bien ça et pour eux c’est le contraire d’une corvée, mais ils le feront demain, ce soir ils ont déjà beaucoup trop donné dans leur jolis corps à elles…
Le café bu, Emilie dit doucement à Pierre qu’elle voulait encore dire quelque chose d’important. Après un long silence gêné, elle commença :
– Avec Aurélie, ce soir, au restau, on a parlé aussi de… Enfin, on s’est dit que… on a fait l’amour tous les quatre… sans mettre… sans aucune protection, quoi, alors… il faut qu’on vous dise un truc, Il y a trois semaines, une fois qu’on a eu fini tous nos soins, toutes nos rééducs et tout le tralala, pour être tranquilles, on a fait un test HIV, on est négatives. Depuis, on n’a fait l’amour que toutes les deux, alors avec nous, vous ne risquez pas de chopper une saloperie. On voulait que vous le sachiez, c’est tout !
Elle se jeta dans les bras de Pierre et enfoui son visage au creux de son cou, elle était soulagée de cette mise au point.
Les deux garçons se levèrent alors comme un seul homme et entrèrent dans la maison, ils ressortirent tous les deux presque aussitôt, un papier que les filles connaissaient bien à la main, leurs résultats de tests de dépistage du sida datés de moins de trois jours : Négatifs tous les deux !
Un immense éclat de rire salue la bonne nouvelle, les filles sautent sur la bouche des garçons, les esprits allaient quand même être bien plus sereins à présent !
Tout le monde s’allonge sur l’immense « lit » improvisé, les filles entre les deux garçons et tout le monde se rendort aussitôt.
Le réveil est plus que matinal, ce sont les premiers rayons du soleil dépassant peu à peu les cimes dentelées de la Tournette qui viennent les éblouir brutalement, alors qu’ils dorment à poings fermés.
Des grognements de mécontentement fusent de partout, les sorties de bains qui ont fait office de couvertures pendant la nuit, sont tirées sur les visages pour se protéger de ce maudit soleil, puis, au bout d’une petite demi-heure, Bernard se lève en s’étirant, exposant aux UV matinaux une érection magistrale qui ne demande qu’à être appaisée.
Pierre quand à lui, a senti Emilie appuyer ses fesses contre sa bite raidie et son érection matinale à lui est déjà enfouie bien au chaud, enfilée jusqu’aux couilles dans la chatte suintante d’envie de celle qui était venue se pelotonner entre ses bras, le dos contre son torse, les fesses contre son ventre. Ils sont immobiles, enlacés, emboîtés, biens !
Pierre s’allonge sur le dos, entraînant Emilie dans son mouvement, qui se retrouve allongée, de dos, sur le corps de Pierre, les jambes un peu écartées, la chatte, à présent ruisselante de plaisir, toujours délicieusement remplie par cette bite qui lui semble encore plus grosse dans cette position.
Les mains de Pierre caressent délicatement son corps, son ventre, ses seins toujours plus durs, son bouton qui dépasse largement des petites lèvres écartelées autour du mat adorable planté en elle. Aurélie et Bernard enlacés, debout, viennent de s’apercevoir que les deux autres font déjà l’amour, Aurélie enlève les sorties de bain qui cachent en partie les deux corps, et se fige devant la beauté du spectacle, elle s’agenouille aux pieds de Pierre et d’Emilie et regarde…
La beauté de ce couple dans cette position l’émeut, elle aurait voulu caresser son amie, elle aurait voulu sucer son bouton si enflé de plaisir qui pointe entre ses petites lèvres dégoulinantes, en caressant cette bite immobile plantée jusqu’à la garde dans cette chatte qu’elle aime tant. Bernard s’est plaqué derrière elle, elle sent sa bite toujours raide coulisser entre ses fesses, puis s’enfoncer lentement dans sa chatte, elle se retourne vers lui et lui murmure :
– Je t’en prie… C’est tellement beau… Laisse moi regarder jusqu’au bout, s’il te plaît… laisse ta bite enfoncée dans ma chatte si tu veux, mais ne bouges surtout pas, après on fera tout ce que tu veux !
Ils s’agenouillent alors aux pieds de leurs amis et regardent, intensément, religieusement, ces deux corps isolés du monde qui ne les voient ni ne les entendent, plongés dans l’océan de leurs délices, prisonniers de cette jouissance infinie qui ressemble à de l’art tellement elle est belle, communicative, profonde, presque divine.
Ils écoutent ces soupirs imperceptibles, qui s’échappent de ces deux bouches, échos émouvants de leurs vagues de plaisir intérieures.
Ils suivent avec envie, les arabesques que les mains de Pierre dessinent sur le visage, sur la bouche, sur le ventre, sur les flancs, sur tout le corps d’Emilie qui ondule sous les vibrations de bien-être.
Ils admirent les mouvements de ces deux sexes qui communient réellement, ces mouvements d’abord imperceptibles, qui s’amplifient lentement, puis de plus en plus rapidement, jusqu’à atteindre un rythme laissant présager l’issue proche…
Puis soudain tout s’arrête, la bouche d’Emilie s’ouvre en grand, son corps se met à trembler, comme pris de convulsions, la bite de Pierre s’enfonce par spasmes incontrôlés dans cette chatte ruisselante de plaisir qui dégouline sur ses couilles…
Puis tous leurs mouvements se transforment subitement en une longue vibration et deux râles sourds s’échappent de leurs gorges, longuement, ils n’arrivent pas à reprendre leur respiration…Les mains de Pierre sont crispées sur les seins d’Emilie, celles d’Emilie agrippées aux mains de Pierre… ils vivent leur orgasme en apnée, les yeux fermés, presque rendus inconscients à cause du maelström qui bouleverse leur corps et leur cerveau… Leurs sexes cherchant, par des secousses désordonnées, à se pénétrer encore plus, à communier encore plus…
Le seul regret des deux spectateurs est de ne pas avoir eu la présence d’esprit de faire une vidéo.
Aurélie s’approche doucement du visage d’Emilie et lui donne un baiser sur sa bouche maintenant apaisée, un baiser d’amour et de remerciement pour un spectacle aussi magnifique et retourne avec Bernard qui, lui, se met à applaudir lentement.
Les deux têtes de Pierre et d’Emilie se redressent, ils voient leurs deux amis agenouillés à leurs pieds, ils se rendent compte qu’ils ont eu un fan club pendant qu’ils faisaient l’amour. Ils éclatent de rire !!
Aurélie se met à quatre pattes devant Bernard qui n’attend que ça pour se débarrasser, enfin, de cette érection qui dure depuis un sacré moment, il s’enfonce d’une seule plongée dans cette chatte également dégoulinante, il n’a pas le temps de faire plus de cinq aller retour dans les entrailles brûlantes qu’Aurélie explose dans un orgasme cataclysmique, la tension avait été trop forte pour elle en regardant Pierre et Emilie faire l’amour, s’ils avaient fait durer leur plaisir une minute de plus, elle aurait probablement joui rien qu’en les regardant.
Le feulement de bête blessée qu’elle pousse, alors que son corps est parcouru de violents soubresauts, fait se relever Pierre et Emilie qui se demandent se qui se passe.
Ils voient Aurélie, recroquevillée par terre en train de frémir encore des derniers spasmes de son orgasme, Bernard à genoux derrière elle, la bite bandée à mort, ruisselante de la mouille d’Aurélie, et qui se demande s’il va, oui ou non, pouvoir enfin se soulager à son tour. Emilie se relève et l’embrasse à pleine bouche.
– Excuses moi, mais j’étais comme un pétard allumé, impossible de savoir quand j’allais exploser…
– Je vous signale que vous avez tous joui sauf moi… râle Bernard, j’ai un truc tout raide, là, qui commence à me peser, si l’une d’entre vous a une idée sympa pour le décontracter, qu’elle ne se gêne pas !
Les deux filles se regardent et se comprennent d’un clin d’œil :
– Oui ! On a une excellente idée pour te soulager, Pierre sera sûrement d’accord ! Hein Pierre ?
En une seconde, les deux garçons réalisent ce que voulaient les filles. Ils leur avaient promis hier soir, chose promise….
D’accord, dit Bernard mais c’est vous qui allez préparer le petit trou de Pierre. Emilie, puisque tu es déjà contre lui, tu vas lui dilater son petit cul tout en douceur, avec un doigt, puis deux, puis trois.
Aurélie, tu vas dans la chambre de Pierre, dans la table de nuit tu vas trouver un pot de gel lubrifiant tu le ramène à Emilie qui va en enduire le petit trou de Pierre et après on vous fait le spectacle.
Aurélie, qui ne veut rien rater, est déjà revenue en courant avec le pot de gel, elle s’approche des fesses de Pierre entre lesquelles Emilie est en train de titiller, avec sa langue, le petit trou déjà très assoupli, elle laisse sa copine s’approcher et fureter également dans cette délicate rondelle en enfonçant également sa langue le plus loin possible. Les mouvements de bassin et les grognements de Pierre donnent une idée assez précise du plaisir qu’il ressent lors de la pénétration de ces langues dans son petit trou impatient.
Après avoir plongé son index dans le pot de gel, Emilie commence à l’enfoncer au centre de la rosette consentante, elle pousse doucement en produisant de petits aller et retours et arrive au bout, elle ne peut pas aller plus loin, elle ressort son index, colle son majeur à coté, retrempe ses deux doigts dans le lubrifiant puis les pousse encore plus lentement dans le cul impatient, ils rentrent sans aucune difficulté.
Pendant ce temps, Aurélie entreprend sucer et de masturber doucement la queue toujours bandée de Bernard, histoire de le faire patienter agréablement pendant la préparation de son ami. Emilie a réussi à enfiler trois doigts dans la rondelle maintenant complètement prête à recevoir cette bite impatiente et d’une raideur de bois.
Bernard s’approche à genoux, des fesses de son copain, Aurélie dépose une nouvelle noix de gel sur la rosette bien ouverte, Bernard se met en position, le gland tellement enflé de sa bite commence à s’enfoncer dans le cul offert. Les filles ne perdent pas une miette de cette pénétration, elles ont les yeux à quelques centimètres de la bite qui pénètre inexorablement le corps de Pierre.
Le spectacle les ravit, elles caressent les couilles des deux hommes, Aurélie, branle lentement la bite de Pierre. La bite de Bernard est entièrement enfoncée, on ne voit plus que ses couilles plaquées presque derrière celles de son ami. Ils restent un moment sans bouger, puis pierre imprime lui même le premier mouvement. La bite ressort lentement de son corps, entièrement, puis replonge rapidement. Les deux filles caressent toujours les couilles des garçons. Emilie a trempé à nouveau ses doigt dans le pot de gel et est en train de les enfoncer dans le cul de Bernard, cette fois, il va vraiment jouir, d’ailleurs, de petits spasmes commencent à faire se resserrer son œillet autour des doigts qu’Emilie y a enfoncé. Elle l’encule avec trois doigts et elle aime bien ça, Bernard aussi….
Ne tenant plus, sous l’excitation insupportable des caresses que leur prodiguent les filles, les deux hommes atteignent un orgasme rapide et magistral. Bernard se vide en grognant dans les entrailles de Pierre qui lui, se vide de son foutre en grands jets dans la main d’Aurélie qui le masturbe. Les filles sont ravies de ce spectacle qu’elles espéraient voir depuis de nombreuses années, tous se rallongent dans les bras les uns des autres et tout le monde se rendort pendant deux heures.
Le petit-déjeuner est riche en discussions comparatives entre la beauté de deux femmes faisant l’amour entre elles, ou de deux hommes se sodomisant, débat sans fin, comparaisons esthétiques impossibles…
Il est convenu, pour finir, que pierre et Bernard adorent la vision que leur donnent Emilie et Aurélie lorsqu’elles jouissent entre elles et qu’il en est de même pour les deux filles qui ont vraiment adoré voir les deux hommes s’enculer. Les deux copines s’accordent à juger que les fesses d’un homme avec une bite plantée entre elles sont ce qu’elles ont vu de plus torride jusqu’à présent.
Ce à quoi les hommes répondent que la bite d’un homme plantée entre les fesses d’une femme, est un spectacle tout aussi « bandant », sinon plus. D’ailleurs, ils leur montreraient tout à l’heure…
Grand blanc dans la discussion, puis l’une des filles dit timidement, presque en s’excusant :
– Non…………! On n’a essayé qu’une fois, on a eu très, très, très, mal toutes les deux…. Pour nous, c’est vraiment trop atroce !! On n’a pas envie de recommencer !
– Maiiiiiiiiiiis nonnnnnnnnnn….! Dit Bernard, vous avez bien vu comment on prépare un petit trou ! Ça se fait avec précaution, c’est que du plaisir…. Si vous avez mal on arrête aussitôt, on lubrifie un peu plus et on essaie encore, jusqu’à ce que notre bite vous pénètre totalement, mais en douceur !
De toutes façon, il faut bien que vous vous y mettiez, sinon vous ne pourrez jamais faire l’amour avec Pierre et moi, en même temps, et là vous perdriez vraiment quelque chose d’exceptionnel ! Et puis pensez à la croisière, vous serez deux pour trois mecs, il me paraît assez peu probable que vos délicieuses petites rondelles ne soient pas visitées, re-visitées et re-re-visitées par nous trois, au moins chaque jour !
Eclat de rire général, un peu crispé quand même de la part des deux minettes qui viennent d’acquérir la certitude que leurs délicats et si fragiles œillets qui adorent les douces et légères caresses de langues ou de doigts précautionneux, vont être visités par les énormes bites des deux garçons dans un très, très bref délai.
Elles ont même la très nette impression que ça va se passer aussitôt que les garçons seront en mesure de bander à nouveau, ce qui ne saurait tarder selon les filles qui les connaissent maintenant un peu mieux sur ce plan là.
Aurélie demande quand-même, comme les hommes veulent vraiment aller jusqu’au bout de la démarche et les sodomiser toutes les deux, qu’ils lui promettent d’arrêter instantanément si elle a trop mal.
Elle, elle a eu une expérience horrible avec un gars qui a voulu la sodomiser, mais comme c’était une vraie brute, il l’a blessée cruellement, elle a eu le petit trou déchiré et elle ne tient pas à revivre ça…
Emilie renchérit en disant qu’il y a peu, elle a du se sauver en courant du lit d’un mec qui voulait l’enculer également, mais qui voulait commencer à lui planter sa bite entre ses fesses sans faire la moindre préparation, ni lubrification. Elle n’a pas été blessée, mais elle a quand-même eu tout le gland du gars engagé dans le sphincter, elle a eu horriblement mal et surtout très peur qu’il n’arrive à lui enfiler le reste dans le cul avant qu’elle ne puisse se sauver…!
Accord total des deux garçons pour satisfaire entièrement à cette requête ! Entre eux, il ne saurait être question que de plaisir ! Leurs rapports ne pouvaient être que totalement consentis et excluaient la moindre douleur !
D’ailleurs, dit Pierre, puisqu’on en parle, Aurélie, toi qui a eu l’expérience la plus douloureuse, viens avec moi, je vais te faire la démonstration devant Emilie et Bernard, et si jamais je te provoque la moindre douleur, même infime, tu auras le droit de me faire ce que tu veux pour te venger… Deux secondes, je reviens !
Pierre rentre chez lui en courant et ressort quelques secondes plus tard, muni de deux bites en silicone transparent qui trempent dans un récipient de verre contenant de l’eau tiède, l’une au bout assez fin mais dont la taille augmente en cône léger, jusqu’à la taille d’une bite normale, l’autre réplique fidèle d’une bite bien bandée, aussi grosse que sa queue à lui en pleine érection. Il prend le pot de gel et fait mettre Aurélie à quatre pattes
– Maintenant détends toi ma petite chatte, je vais te procurer un plaisir d’une intensité que tu ne soupçonnes même pas et dont tu me remerciera…
Il se positionne derrière les fesses complètement écartées par cette position et commence à pointer sa langue, en douceur, au centre du très beau et très délicat œillet d’un rose très tendre. Cette caresse qu’elle connaît quand même bien, surprend agréablement Aurélie qui commence à onduler de la croupe pour essayer de sentir cette langue pénétrer un peu plus en elle.
Pierre écarte doucement les fesses avec ses doigts pour détendre un peu plus cette tendre rosette, sa langue pénètre de quelques millimètres… Le cul d’Aurélie bouge de plus en plus, elle sent cette langue diabolique s’enfoncer de plus en plus loin dans son cul en lui procurant un plaisir extraordinaire elle soupire des paroles d’encouragement à continuer …
Pierre fait bouger sa langue à l’intérieur d’Aurélie, son petit trou commence à se détendre de lui même…!
Aurélie plaque son cul, avide de cette délicieuse pénétration, de plus en plus fort contre la bouche qui la comble.
Pierre continue longtemps cette caresse délicate qui ravit Aurélie, puis il attrape le plus petit des deux godes, le trempe dans le gel lubrifiant et en présente le bout au centre de la rondelle consentante… Il l’enfonce lentement, tandis qu’Aurélie est parcourue par de délicieux frissons… Elle a senti le bout très fin du gode écarter délicatement sa rondelle puis glisser lentement en elle. Il ressort et se rengage à nouveau de quelques millimètres supplémentaires dans son petit trou impatient, c’est elle qui donne un petit coup de rein pour qu’il pénètre un peu plus, elle se plante de quelques centimètres sur ce jouet qui lui fait perdre pied.
A ce stade de l’expérience, elle trouve cette intrusion dans son petit trou parfaitement délicieuse elle veut sentir le gode rentrer en elle un peu plus profondément.
Pierre ressort à nouveau le jouet de latex transparent de cette mignonne rondelle de plus en plus dilatée, puis l’enfonce à nouveau, encore plus profondément… Puis, finalement, au bout de dix minutes de préparation délicieuses et totalement indolores, c’est Aurélie elle même qui donne le dernier coup de reins qui fait s’enfoncer le gode jusqu’au fond de son intestin. Elle pousse de tout petits gémissements de bien être…
Pierre laisse la bite de latex conique enfoncée au maximum pendant un long moment durant lequel il caresse délicatement, du bout des doigts, le tour du petit trou, enduit de lubrifiant et tendu autour de la bite de plastique. Cette caresse comble encore plus Aurélie qui pousse toujours d’imperceptibles et vibrants gémissements de plaisir …
Pierre plonge alors le second gode dans le gel lubrifiant et l’approche du cul ondulant, il ressort très rapidement celui qui est entièrement planté dans l’intestin d’Aurélie, jusqu’au plus gros de son diamètre en lui faisant faire de lents va et viens, puis, il le ressort et engage immédiatement le plus gros à sa place, il l’engage d’un ou deux centimètres dans le petit orifice distendu avant qu’il ne se referme et attend.
C’est Aurélie qui s’enfonce elle même sur le nouveau gode, elle s’empale jusqu’au fond, en soupirant de plus belle…
Toute à son plaisir de plus en plus intense, elle ne s’est même pas aperçue du changement de taille du visiteur. Elle en est déjà au stade de la sodomie où ceux qui la pratiquent souhaitent inconsciemment que ce qui les pénètre si agréablement soit plus gros à chaque plongée dans leurs corps en feu…
Depuis une dizaine de minutes, elle se plante elle même et de plus en plus profondément sur cette fausse bite beaucoup plus grosse et bien plus longue que la première…
Le mouvement de va et viens qu’elle imprime à ses reins pour s’enfoncer sur le gode sont de plus en plus rapides. Ses gémissements de plus en plus forts et fréquents laissent présager la délicieuse arrivée d’un orgasme… Pierre juge qu’elle est prête, il se rapproche alors d’elle, sa bite tendue comme un ressort par le désir de plonger dans ce cul adorable et maintenant béant, il ressort très lentement le jouet et engage sa bite à sa place, entièrement, jusqu’au fond, d’une seule poussée…
Moins d’une demi heure après la pénétration du premier centimètre du premiers gode de la taille d’un petit doigt, sans s’en douter, Aurélie s’empale elle-même sur cette bite qu’elle redoutait tant sentir s’enfoncer entre ses reins, ce n’est que sur un mouvement un peu plus violent de sa part qui projette ses fesses contre le ventre et les couilles de Pierre qu’elle se rend compte que c’est maintenant une vraie bite qui est plantée entre ses reins et l’emmène à la jouissance.
La surprise et le plaisir la fauchent presque immédiatement, quelques plongées de ce pieu palpitant aux tréfonds de ses entrailles déclenchent en elle un orgasme grandiose, bruyant, total… Elle se laisse rouler sur le côté, Pierre qui n’a pas encore déchargé dans ce cul moelleux et brûlant suit son mouvement, ils se retrouvent en chien de fusil, la bite de Pierre toujours enfoncée dans la rondelle veloutée et palpitante, le corps d’Aurélie parcouru des derniers spasmes de plaisir déclenché par sa première sodomie réussie.
Elle tourne légèrement la tête vers Pierre et lui demande de se vider en elle, elle en a tellement envie…
Les petits va-et-vient imperceptibles de la bite encore plus raide recommencent immédiatement dans la délicate fleur épanouie de bien-être… Les gémissements de plaisir d’Aurélie reprennent de plus belle. Le rythme des pénétrations de son cul par cette bite bienfaisante s’accélère lentement, ses cris de plaisir aussi. Elle sait que son amant va inonder son intestin de sperme brûlant pour la première fois de sa vie, puis c’est l’explosion des deux corps… Enorme… bruyante… Aurélie hurle réellement sa jouissance, agrippée aux bras de Pierre qui l’enlace et dont les mains caressent sa poitrine et sa chatte, branlant délicatement son bouton tout raide, elle sent les giclées fuser délicieusement en elle…
Pierre pousse un rugissement sourd, étouffé, les deux corps tremblent pendant que l’un se vide dans l’autre, essayant de faire pénétrer sa bite giclante encore plus profondément dans ce cul comblé et avide… plus aucun des mouvements qui les agite spasmodiquement n’est contrôlé ni volontaire….
Cette jouissance énorme dure longtemps, puis se calme, lentement. Les corps de Pierre et d’Aurélie sont éperdument étreints, liés comme par des cordes invisibles et indestructibles, les mains de Pierre recouvrent les seins et la chatte gluante d’Aurélie, sa bite toujours plantée au fond de son cul, ils sont bien…….
C’est Emilie qui prononce la phrase qui fait revenir tout le monde sur terre :
– Décidément, mon père a raison, entre des mains aussi exceptionnelles, il ne peut vraiment rien nous arriver de mal !
Gros éclat de rire de tous !!! Puis Bernard fait une réflexion mi-figue mi-raisin :
– Moi j’en ai marre ! A chaque fois que Monsieur fait quelque chose à l’une, l’autre ne veut pas que je la touche, elle veut voir, elle veut admirer…
Aurélie fait un clin d’œil à Emilie qui s’approche immédiatement de Bernard, le fait basculer sur le dos, le chevauche et, d’un seul coup, s’empale la chatte jusqu’aux couilles sur sa bite dressée.
– Mais il est pénible Caliméro ! Et là, il se sent moins délaissé ? Elle est bien au chaud la grosse quéquette ? Pas trop serrée ? Pas trop mouillée ? Il ne veut pas m’enfiler ses couilles aussi, tant qu’il y est ? Alors, je te préviens, si je n’ai pas joui jusqu’à hurler de plaisir d’ici trois minutes, ne compte plus me faire l’amour de toutes les vacances !
Il fallut bien moins de deux minutes au couple surexcité pour exploser et à Aurélie pour hurler de jouissance comme jamais…
Le début de matinée se poursuivit dans une débauche de baisers, de caresses, de doigts fureteurs et de langues baladeuses.
Emilie veut également que ce soit Pierre qui la sodomise pour la première fois, mais seulement au moment qu’elle aurait choisi elle, ce sera, de toute façons, dans l’après midi.
Bien entendu Bernard râle à nouveau, disant qu’il en a marre, que lui aussi aurait su tout aussi bien lui faire que Pierre !
Le baptême de sodomie d’Emilie est un succès total et une réplique parfaite de celui d’Aurélie. Après une longue et délassante douche commune, tous reviennent sur les matelas de mousse, au bord de la piscine, les filles blotties dans les bras des garçons, tout le monde est fatigué. Avant de s’endormir un petit moment, Emilie a une réflexion qui fait très plaisir à Pierre :
– Tu sais c’est génial, comme mon petit trou s’est resserré tout de suite quand tu es sorti de moi, ton sperme est resté au fond de mon ventre, il ne pourra pas s’en aller, si tu avais joui dans ma chatte, il serait déjà ressorti, là, c’est comme si tu étais toujours entre mes reins, c’est un merveilleux cadeau, je t’adore.
C’est probablement pour cette raison psychologiquement très profonde, presque mystique, qu’elle veut, dès le lendemain matin, après le petit-déj. et la toilette, que les deux garçons lui fassent l’amour dans son petit trou et se vident l’un après l’autre dans son intestin.
Elle est remplie du sperme de ses deux amants qu’elle gardera au moins une journée complète au plus profond d’elle, le don le plus intime de ces deux garçons qu’elle adore. Aurélie veut le même présent, évidemment.
Décidément, maintenant qu’elles ont découvert ce nouveau plaisir, elles sont bien parties pour en abuser.
Cette ambiance de rêve dure jusqu’à leur départ pour Fréjus. Les trois jours ainsi que les nuits se passent dans des étreintes éperdues à deux, à trois, à quatre. Les filles font effectivement l’amour avec les deux hommes à la fois et leur jouissances sont réellement extraordinaires, à la hauteur du plaisir inouï qu’elles ressentent lorsque deux bites raides de désir pénètrent en même temps, lentement, avec douceur, dans leurs orifices insatiables, puis lorsque ces deux pieux parcourus de spasmes explosent dans une marée de sperme brûlant qu’elles sentent gicler et se répandre au cœur de leurs entrailles.
Les filles font également l’amour entre elles, pour le plus grand plaisir des garçons qui peuvent contempler à loisir la beauté torride de ces étreintes douces et précautionneuses et des orgasmes vibrants qui s’en suivent.
Puis les garçons ont également fait plaisir aux filles, ainsi qu’à eux mêmes, en leur permettant d’admirer leurs sodomies entre hommes, mais cette fois, c’est Bernard qui s’est fait sodomiser par Pierre.
Globalement, rien de ce qu’il est possible de faire entre quatre êtres humains en matière de sexe n’a été oublié et tout le monde est impatient d’être sur le bateau où, outre la présence d’un homme supplémentaire, la magie du grand large allait décupler leur plaisir.
On est samedi matin, tout le monde déjeune sur la terrasse, la voiture, un voyager Chrysler, est prête, les trousses de toilettes, sacs, vanity, plus les quelques vêtements de tous, chargés à l’arrière, Pierre n’attend plus que l’arrivée de l’un de ses cousins et de sa femme qui viennent profiter de la maison durant leurs absence, avant de donner le top du départ.
Il avait été convenu que Bernard conduirait jusqu’à Aix en provence et que Pierre et Aurélie se reposeraient derrière. Ce fut bien ainsi que les choses se passèrent, sauf que, si les deux passagers arrières ont bien commencé le voyage en somnolant dans les bras l’un de l’autre, une main chacun enfoncée dans le short de l’autre, à peine arrivés à Valence, Aurélie était allongée sous le corps de Pierre, sa bite enfoncée dans le cul jusqu’aux couilles, Pierre dominait la situation et maintenait un rythme de pénétrations très très lent, il voulait faire durer le plaisir, c’était évident, il n’était manifestement plus question pour eux de se reposer.
Trente kilomètres plus loin, un orgasme d’une puissance inattendue faucha Aurélie. Le cri dément qui s’échappa de sa gorge fit sursauter Emilie et Bernard. Emilie se retourna et admira Pierre qui avait accéléré sa chevauchée pour jouir également au plus profond des reins de sa compagne en plein orgasme. Quel pied !
A l’aire de repos suivante, les rôles changèrent et c’est Bernard et Emilie qui s’allongèrent sur les banquettes arrières rabattues, bien entendu, chauffés par le spectacle et les gémissements qu’ils venaient d’entendre, ils entamèrent immédiatement la ronde des caresses profondes qui les conduisit à la même conclusion, Bernard se vida dans le corps déchaîné d’Emilie…
Fréjus, tout le monde descend !
Il est temps ! Malgré les jouissances extraordinaires qui ont émaillé ce voyage, les jambes de tous commencent à être un peu engourdies.
Pierre appelle Fred sur son portable pour savoir ou se trouve le bateau. Leur copain répond du large où il fait un petit galop d’essais avec l’engin pour le prendre en main. Il leur dit d’aller au bout de la jetée pour le voir arriver. Point de repère : un gros cata avec un spi. Bleu blanc rouge en diagonale, ils ne peuvent pas le louper.
Un petit quart d’heure plus tard, le bateau se présente à l’entrée du port, sous l’œil joyeux de Pierre et Bernard et le regard admiratif des deux filles.
Elles sont ébahies par la beauté de l’énorme voilier dans lequel elles vont vivre trois semaines. Fred leur fait de grands signes en passant dans le chenal à quelques mètres d’eux, une superbe blackette vêtue uniquement d’un microscopique bas brésilien assise à ses côtés, il affale les voiles et met les moteur en marche, il va apponter dans moins de cent mètres.
Le transbordement est bref, une fois toutes les affaires chargées, les provisions qui attendaient sur le quai embarquées et la voiture confiée aux bons soins d’un parkman, tout le monde embarque.
Fred, en bon skipper, fait visiter le bateau, montre les cabines dispo (celle qu’il occupe avec sa toute récente copine noire est, bien entendu, définitivement réservée) et propose de sabler le champagne sur le pont, ce que tout le monde accepte bien volontiers.
Présentations, embrassades, rigolades, Marine (la petite Blackette) est vraiment super sympa, les deux filles la trouvent vraiment gentille, elle les aide à embarquer et à emménager dans leurs cabines, ce qui dure une éternité.
Les trois hommes arrosent leurs retrouvailles et la croisière qui s’annonce géniale dans ce superbe cata de vingt mètre, prévu à l’origine pour dix personnes, ils ne manqueront pas d’espace ! Ils redescendent à terre et vont manger dans un petit restau à côté de la capitainerie, le vin blanc de Cassis et le rosé de Bandol coulent à flot pour accompagner les gambas et les loups grillés, l’ambiance est franchement au beau fixe.
Pierre explique comment il a fait la connaissance d’Aurélie et d’Emilie, Fred raconte comment il à rencontré Marine (dix huit ans depuis une semaine), sur la plage, le matin même. Une heure plus tard, ils faisaient l’amour comme des malades sur le bateau. Elle a accepté bien volontiers l’invitation de faire la croisière avec eux…..
Les mains des garçons cajolent de plus en plus souvent les rondeurs des filles qui n’y trouvent absolument rien à redire, bien au contraire… Elles aussi ont d’ailleurs commencé à caresser leurs voisins, quels qu’ils soient, sans la moindre pudeur.
Au vu de la tension montant de plus en plus et des attouchements de plus en plus poussés partant dans tous les sens, Fred propose de tirer au sort la composition des couples pour la nuit qui arrive, puis de procéder de la même manière chaque soir de la croisière.
L’unanimité acclame cette espèce de loterie du partenaire et le tirage au sort a lieu aussitôt.
Le nom de chacun des trois hommes est inscrit sur trois petits papiers soigneusement pliés et mélangés dans un pot vide. Lorsque les trois filles ont tiré chacune un papier, Marine déplie le sien, elle passera la nuit avec Fred, pas de surprise. Aurélie déplie son billet, elle ira avec Pierre, et donc, Emilie avec Bernard.
Ce tirage au sort des couples de la nuit ne génère aucun changement aux compositions de départ, le principe est retenu par tout le monde, Fred rajoute cependant un second tirage, il désignera la fille qui sera prise par les trois garçons en même temps, au moins une foi, le lendemain.
Rien de plus ne peut être dit sur l’ambiance générale et les occupations de chacun lors de ce voyage. Tout le monde y a fait l’amour à tout le monde, des dizaines de fois.
Chaque soir à l’heure de l’apéro, le tirage au sort de la composition des couples pour la nuit suivante puis celui de l’heureuse élue qui se fera prendre par les trois hommes à la foi eut lieu dans une ambiance de délire total.
L’élue de la nuit allant immédiatement se jeter dans les bras, sur la bouche et surtout sur la bite de son partenaire désigné par le sort.
La gagnante de l’espèce de gang bang du lendemain faisant le tour des mâles en joie en leur roulant la pelle du siècle tandis que les mains des garçons et des deux autres filles glissaient sur les seins, les fesses et la chatte de la chanceuse.
Chacun à vécu des orgasmes cataclysmiques, chaque jour une fille était prise par les trois garçons ensembles les orgasmes que vivait l’heureuse élue du jour étaient d’une puissance indescriptible.
Aurélie et Emilie ont convaincu Marine de partager leurs ébats lesbiens, au moins une fois pour essayer, ce qu’elle a accepté sans difficulté et continué à pratiquer assidûment, avec de plus en plus de plaisir, avec l’une ou l’autre au cours du voyage. Une excellente formule lorsque l’une d’elle se retrouvait prise par les trois hommes à la fois…
Les nuits étaient torrides et certaines journées franchement orgiaques. Les trois filles ont plus fait l’amour durant ces trois dernières semaines que durant toute leur vie. Leurs bouches, leurs chattes et leurs petits trous ont reçu des cascades de sperme et elles ont adoré ça.
Sur le bateau, tout le monde vivait nu et il avait été décidé que personne ne pouvait refuser quoi que ce soit à qui que ce soit, étant bien entendu que personne ne devait souffrir d’aucune manière.
Au bout d’une semaine de cette promiscuité de chaque instant, tous les interdits étaient tombés, tous les tabous aussi, plus rien ne choquait personne.
A chaque fois qu’une des fille prenait la barre, elle était assurée de sentir immédiatement une bite s’enfoncer dans sa chatte ou dans son petit trou devant tous les autres, à chaque fois qu’un garçon se faisait bronzer sur le pont une des filles faisait dresser sa bite dans sa bouche puis s’empalait la chatte sur le sexe devenu raide et à chaque fois, bien évidemment, ces spectacles torrides déclenchaient une envie inévitable chez tous les autres, ce qui se traduisait par une orgie générale.
Chacun et chacune abusait au maximum de ces délices du corps, sachant très bien qu’une fois revenu à terre, dans le monde dit normal, tous devraient se fondre à nouveau dans le moule des convenances et de l’hypocrisie des apparences.
Le retour se fit dans les délais, et lorsque les trois couples touchèrent à nouveau le quai du port de Fréjus, si les entrailles des filles étaient bien remplies, les cœurs de tous étaient bien vides.
Une page de la vie extraordinaire de ce groupe idéal allait se tourner dans quelques minutes et tous savaient parfaitement que la page suivante serait forcément moins agréable…
Fred repartait le lendemain matin pour l’Espagne où l’attendait une masse de travail, Marine rentrait à Lyon quelques jours plus tard où elle retournait à la fac de médecine, Pierre et Bernard reprenaient le travail le surlendemain et Aurélie et Emilie retournaient à la fac de Grenoble, dans une semaine.
Le retour à Annecy se fit dans un climat morose, les garçons essayaient bien de mettre un peu d’ambiance, leurs mains se glissaient très souvent dans les shorts ou les tee-shirts des filles, mais malgré quelques masturbations distraites, quelques pénétrations malgré tout très agréables et quelques jouissances bruyantes, le cœur n’y était plus.
Arrivés à la maison, après avoir salué les cousins de Pierre qui repartaient aussitôt à cause de leurs obligations professionnelles, pour la première fois depuis qu’ils se connaissaient, ils ne firent pas l’amour au bord de la piscine et, le soir, ils dormirent à deux, chaque couple dans une chambre différente.
Bien sur ils firent encore l’amour, les filles jurèrent qu’elles ne pourraient jamais les oublier, qu’elles les aimaient à la folie.
Bien sur les deux garçons leur dirent eux aussi, qu’ils les aimaient…
Le seul qui fit une promesse tenable fut Pierre, qui assura aux deux filles que sa maison était la leur tant qu’elles en auraient envie et qu’elles pourraient, seules ou toutes les deux, venir le retrouver à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, quand il serait là.
Il rajouta même, avec un clin d’œil complice, que si lorsque l’une d’elle passait le voir, elle tombait sur une copine à lui de passage, et bien ils feraient l’amour tous les trois, ou tous les quatre, ou plus…
Le lendemain les deux filles partirent en promettant d’appeler ou d’envoyer des mails chaque jour. Bernard rentra chez lui après une dernière nuit de sodomie réciproque et délicieuse avec son ami et les deux hommes reprirent leur travail, leurs voyages, leurs études de marché, leurs campagnes marketing, leurs contrats commerciaux….
La fin septembre est magnifique, la longueur des jours décline légèrement mais les journées sont superbes et la température toujours estivale.
Un samedi matin, aux environs de dix heures, alors qu’il était rentré dans la nuit d’un voyage de plusieurs jours, Pierre se lève, prépare son petit déjeuner sur la terrasse comme à son habitude, à côté de la piscine et, toujours en bermuda, part relever sa boite aux lettres. Au milieu d’une tonne de courriers, documents, pubs, il trouva un mot, simplement glissé dans une enveloppe non cachetée portant son prénom. Sous la date et l’heure à laquelle avait été écrit ce billet, quelques lignes sont griffonnées à la hâte:
« Bonjour très cher monsieur,
Nous somme venues pour vous exprimer notre gratitude et vous remercier infiniment de tout ce que vous avez fait pour nous tous, mais hélas vous êtes absent.
Nos filles ne tarissent pas d’éloge à votre sujet, elles sont transformées, enfin vraiment heureuses et disent à qui veut l’entendre que les vacances que vous leur avez permis de passer en votre compagnie ainsi que celle de vos amis seront, à jamais, les plus beaux jours de leur vie. Vous les avez trop gâtées, Vous et vos amis êtes vraiment tous exceptionnels et nous ne savons vraiment pas quoi faire pour vous remercier de votre gentillesse.
Nous repasserons à l’occasion, si cela ne vous gène pas et souhaitons pouvoir enfin vous rencontrer dans un climat plus détendu qu’à l’hôpital.
Edda et Chantal
(Les mamans d’Aurélie et d’Emilie ) »
Pierre regarde la date et l’heure inscrites en tête du billet, cela faisait plus de six jours qu’il avait été déposé dans sa boîte. Il reprend son petit-déjeuner, il est plongé dans la lecture de ses courriers, quand la sonnette du portail retentit, il répond à l’interphone, c’est Edda, la mère d’Emilie.
Il appuie sur le bouton d’ouverture et attend l’arrivée de la femme. Il la regarde avancer dans l’allée, très sympathique silhouette mise en valeur par une très vaporeuse robe d’été savamment décolletée et ajourée qui ondule sensuellement autour de son corps pendant qu’elle monte élégamment les escaliers menant à la terrasse. Il fait quelques pas au devant d’elle et lui tend la main.
– Bonjour chère madame, je suis rentré de voyage dans la nuit et je viens précisément, à l’instant, de lire votre gentil message.
Pierre lui montre la table du salon de jardin sur laquelle il vient de trier la montagne de courrier.
– S’il vous plaît, appelez moi Edda ! Madame, c’est un peu pompeux non ?
– Entièrement d’accord, à condition que vous m’appeliez Pierre et qu’on se tutoie.
Une rougeur envahit les joues de cette petite bourgeoise plus que désirable, dont les yeux extraordinaires fuient un instant ceux de Pierre.
– Vous savez, cela me fait très plaisir, mais je n’ai pas l’habitude. Mon mari et moi sommes un peu vieux jeu, Aurélie me le répète assez souvent ! Enfin, allons y tutoyons nous, vous avez raison, c’est plus convivial et je me vois mal vous refuser quoi que ce soit!
Un très agréable pressentiment se fait jour dans l’esprit de Pierre, ces femmes mariées depuis près de vingt ans, un peu timides et en manque de relation physique, sont très souvent de petits démons du sexe dès qu’on leur donne la possibilité de s’exprimer librement. Pourquoi est elle revenue le voir toute seule si elle n’a pas envie de se donner à lui ? Il allait essayer de savoir habilement ce qu’elle avait en tête.
– Je t’en prie Edda, assied toi, je te propose une tasse de café en ma compagnie ?
– Non, je ne veux pas vous… te déranger, je ne faisais que passer. Comme la dernière fois, avec Chantal, on n’avait pas pu vous…te voir, je me suis dit qu’aujourd’hui, si vous… tu étais là cela me donnerait l’occasion de vous remercier pour tout…..de TE remercier pour tout, v.. tu vois, c’est très difficile pour moi de te dire tu.
– Mais non, tu ne me dérange absolument pas, d’ailleurs, si je pensais simplement qu’une femme aussi belle et attirante que toi puisse me déranger, je serais vraiment le dernier des imbéciles ! Un petit jus de fruit alors ? Tu préfères ?
Edda pique un phare énorme, ses yeux scrutent le sol devant ses pieds, le compliment appuyé semble l’avoir troublée mais Pierre a de plus en plus l’impression que si l’attitude gênée de la mère d’Emilie reflète bien sa réelle timidité, il est de plus en plus convaincu que les pensées de cette femme ravissante sont beaucoup plus qu’amicales.
Il rentre dans la maison, en ressort avec des jus de fruits frais et un verre qu’il pose devant sa visiteuse toujours debout à côté de la table de salon.
– Vous avez une maison magnifique, on doit être bien ici, vous…. tu n’as pas de vis à vis, vous… tu peux profiter de ta piscine sans craindre les regards indiscrets.
– Assied toi, c’est pas plus cher, Orange ? Ananas ? Pamplemousse ?
– Ananas, s’il v.. te plaît.
– Ananas… ! Bon choix ! Moi aussi j’adore les jus doux et suaves…
Cette fois, le phare que pique Edda, à ce propos très ambigu que Pierre vient de lancer « pour voir », semble ne pas devoir se calmer, ses mains tremblent légèrement et lorsqu’il lui tend son verre en effleurant volontairement ses doigts, il n’a pas l’impression qu’elle ait fait le moindre geste pour éviter ce contact.
Son calme retrouvé, Edda se détend un peu, puis, séquence émotion, elle parle de sa fille, de l’enthousiasme avec lequel elle lui a raconté la croisière (uniquement les aspects maritimes, météorologiques et conviviaux).
Elle enchaîne en abordant les soucis qu’elle lui a occasionnés, auparavant, cette fugue à peine ébauchée qui les avait tous miné moralement, cet accident qui aurait pu… Heureusement qu’elle est tombée sur un homme aussi extraordinaire que lui, elle ne lui sera à jamais reconnaissante d’avoir sauvé sa fille unique au propre comme au figuré, en remerciement, elle veut absolument faire quelque chose pour lui parce que lui faire plaisir la ravira, la rendra immensément heureuse, n’importe quoi, à partir du moment que ce qu’il lui demande est humainement possible…!
Brutalement, leurs propos deviennent plus anodins, plus futiles, Edda et enfin soulagée, elle pense avoir ouvert suffisamment de portes pour que son interlocuteur puisse s’y engouffrer s’il en a envie. Elle ne peut décemment pas en faire plus, sous peine de passer pour un femme trop légère… Elle attend la suite !
Pierre revient avec humour sur la proposition d’Edda de faire n’importe quoi pour lui. Il lui assure qu’en général, il sait très bien ce qu’il a envie que lui fasse une aussi jolie femme…
Malgré son nouveau phare provoqué par la « plaisanterie » de Pierre, cette fois elle ne baisse pas les yeux, elle le regarde en souriant…
Elle espérait bien qu’il lui tiendrait exactement ce propos là ! Après un sourire ravi et un silence approbateur, elle change de sujet, parle de sa fille à nouveau, puis revient avec insistance sur l’aspect agréable de la piscine, probablement pour aboutir à une situation déjà bien définie dans sa tête, ce que Pierre a parfaitement discerné.
– Tu veux en profiter ? Je t’en prie, surtout ne te gènes pas ! Comme tu le disais si justement tout à l’heure, absolument aucun regard indiscret ne peux nous déranger…
– Non, v.. tu n’es pas sérieux, de toutes façons, même si je le voulais je n’ai pas de maillot de bain, alors…!
– Pas de souci, justement, j’en ai ramené deux qu’Aurélie ou Emilie ont oublié sur le bateau et qu’elles ne sont pas venu rechercher, comme ça tu as le choix, vas en passer un dans une chambre d’ami, compte tenu de la perfection de ta silhouette, je suis certain qu’ils t’iront aussi bien qu’aux filles, et fais toi plaisir, profite de l’eau et du soleil !
Après de multiples:
– Mais non, ça me gène, et puis cela ne se fait pas… !
Auxquels Pierre rétorquait des choses archi convenues du style:
– Tu as tort, de toutes façons c’est l’heure à laquelle je me baigne habituellement et je vais y aller, avec ou sans toi…
Suivis de :
– Non, non, vous… tu te rends compte, si jamais quelqu’un me voyait…
Une dizaine d’échanges verbaux qu’elle pensait nécessaires mais qu’elle savait hypocrites et inutiles, Edda finit par prononcer le libérateur :
– Bon ! D’accord… ! Mais c’est bien parce que tu insistes autant et que je n’ai pas le droit de te vexer !
« Capitulation » à laquelle elle voulait précisément arriver depuis le début, tout en voulant donner à son interlocuteur l’impression qu’elle avait été très difficile à convaincre ! Décidément, les jeunes sont plus sincères…!
Pierre rentre dans sa chambre pour disposer les deux brésiliens sur son lit (il s’était bien gardé de lui dire qu’il n’y avait pas de haut et que les bas n’étaient, en fait, que de microscopiques strings) et accompagne Edda jusque dans la pièce.
Une fois la porte refermée sur Edda, il va se jeter dans la piscine avant qu’elle n’ait le temps de faire le moindre commentaire sur la taille de ce qu’il lui propose pour se « vêtir » et attend qu’elle reparaisse…
Edda ressort de la maison au bout de longues minutes, quasiment nue, visiblement gênée, les mains plaquées sur ses seins pour en cacher les bouts aux regards de Pierre. Il est agréablement surpris à la vue du corps de cette femme, elle est beaucoup mieux faite et bien plus attirante que sa tenue vestimentaire ne le laissait imaginer. La forme assez ample de la robe qu’elle portait n’était absolument pas destinée à cacher une quelconque imperfection de son corps ni le moindre bourrelet disgracieux, pas plus que la moindre trace de cellulite.
Sa poitrine est haute et ferme, son ventre parfaitement plat, ses hanches délicieusement galbées, ses fesses cambrées comme celles des femmes noires, ses cuisses pleines mais sans la moindre cellulite ni graisse superflue, sa chatte totalement épilée, très bombée, l’entre-jambes du micro maillot de bain très largement rempli par des lèvres qui doivent être douces et accueillantes et qui cachent certainement un bouton délicieux.
Elle tourne le dos et descend les quelques marche de l’échelle d’accès, Pierre peut alors admirer ses reins ornés de deux adorables fossettes et ses fesses fermes et suggestives totalement dénudées et mises en valeur par le string fuschia, il rêve déjà du trésor froncé et rose, qu’il voit parfaitement entre ces deux superbes demi pêches veloutées mises en valeur par la très fine cordelette dorée du string…
Edda entre précautionneusement dans l’eau en évitant soigneusement de mouiller ses cheveux.
A ce moment là, Pierre acquiert la certitude absolue qu’elle cachera cette visite à son mari. C’est pour cela qu’elle ne veut pas avoir les cheveux mouillés, et si elle veut cacher cette visite, c’est, qu’au fond d’elle-même, elle n’a absolument pas l’intention de s’en tenir à une simple baignade…
Elle nage devant Pierre en souriant, Il admire son corps, ses cuisses qui s’écartent largement pour la nage, offrant à son regard de plus en plus envieux, les galbes si désirables de son entrejambe totalement découverts par ce minuscule maillot gonflé par les lèvres charnues.
Pierre sent très nettement sa bite se gonfler lentement mais sûrement. Ils rient de bêtises que Pierre raconte, ils s’amusent comme des ados.
Edda s’arrête de nager et se met debout, adossée à la paroi du bassin à un endroit où elle a pied, seule sa tête sort de l’eau, elle regarde Pierre faire des longueurs à toute allure. En bout de bassin, il se retourne, la regarde… Il ne sourit plus de la même manière, elle non plus !
Ils se regardent dans les yeux, Pierre lâche le rebord de la piscine et nage lentement vers Edda, ses yeux toujours fixées sur les siens.
Il s’approche d’elle, met une main sur le côté de son cou, son autre bras entoure sa taille et l’attire contre lui. Edda se défend mollement, elle pose ses deux mains contre la poitrine de Pierre et fait mine de l’empêcher de la serrer contre lui, alors que sous l’eau, leurs deux pubis sont déjà plaqués l’un contre l’autre, elle lève les yeux vers cette bouche qui s’approche de la sienne, et alors que ses yeux ainsi que tout son corps hurlent : caresse moi, embrasse moi, prend moi comme une chienne, baise moi… sa bouche murmure, dans un souffle un peu rauque, un hypocrite :
– Non ! Je t’en prie, je suis mariée ! Il ne faut pas ! Ça n’est pas bien ! Si ça se savait…!
Puis ses lèvres sont recouvertes par celles de Pierre et c’est elle même qui plaque tout son corps contre lui, entourant son torse de ses bras caressants.
Leur baiser et leurs caresses durent une éternité, Pierre bande comme un âne et Edda masse langoureusement cette bite qu’elle a parfaitement senti durcir et se dresser contre elle avec son pubis à peine couvert.
Pierre glisse une main sur ses fesses, l’un de ses doigts s’engage dans l’adorable sillon, il frôle longuement le délicat petit trou frémissant et y enfonce délicatement la première phalange de son doigt… Il est content, il la sent vibrer de plaisir sous la douce caresse, elle pousse même légèrement son cul contre le doigt qui appuie en son centre pour le faire s’engager un peu plus profondément, puis elle plaque à nouveau son pubis contre la bite qui fait certainement dégouliner sa chatte d’envie et effectue de petits mouvements du bassin de plus en plus rapides, de plus en plus désordonnés, elle se masturbe, même pas discrètement, contre la bite de Pierre…
Pierre arrache alors les deux maillots de bain qui coulent aussitôt au fond de la piscine, Edda entoure de ses deux jambes les hanches de Pierre qui plante sauvagement sa bite raide comme du bois au fond de cette chatte en folie…
En moins de dix secondes et quelques plongées brutales dans ses entrailles en feu, le corps d’Edda se crispe, vibre, tremble, un long râle guttural s’échappe de ses lèvres tandis que ses bras et ses jambes enserrent le corps de Pierre comme dans un étau…
Elle est en train de jouir, un orgasme sans fin parcourt son corps qui n’en finit plus d’être secoué par les spasmes du plaisir…
Une fois retrouvé ses esprits, Edda dévore la bouche de Pierre, elle caresse à nouveau ce corps qui l’a tant fait frémir de jouissance et dont la bite toujours raide et droite est plantée jusqu’au plus profond de ses entrailles, elle est littéralement greffée à ce corps, à cette peau qui l’a enflammée, à cette bite qui n’a pas encore joui et qui vibre en elle, toujours plus raide, toujours plus vibrante…
Ils sortent alors de l’eau, Pierre essuie le corps d’Edda. A son tour, Edda sèche sensuellement ce corps de mâle qui l’attire tant. Ils s’allongent sur un matelas de mousse, Edda s’offre à nouveau à cet homme qui lui a permis de vivre ce premier orgasme si profond.
Pierre parcourt chaque millimètre de cette peau douce et parfumée avec sa bouche, étreignant ce corps docile dont les cuisses largement écartées offrent totalement son entrejambe aux caresses délicieuses. La bouche de Pierre approche lentement cette chatte offerte et suintante d’envie, sa langue frôle les petites lèvres le bouton qu’elles protègent, il y glisse sa langue et débusque le détonateur du bonheur.
Edda est parcourue d’un frisson énorme au moment où la bouche de Pierre aspire complètement cette délicate excroissance qu’il se met à lécher rapidement, son bassin effectue de violents mouvements incontrôlés d’avant en arrière, un second orgasme arrive, elle gémit, elle crie, elle halète, ses mains griffent la nuque de celui qui la fait exploser encore une fois, sa chatte frotte de plus en plus vite contre la bouche qui la fait se pâmer, elle se branle contre les lèvres et la langue qui la visitent, ses brusques mouvements s’accélèrent encore pour ne plus devenir qu’une vibration, elle relève ses cuisses et les referme, brusquement sur les joues de celui qui est en train de la faire devenir folle de plaisir, puis ses cuisses s’ouvrent en grand à nouveau et son corps, parcouru d’énormes spasmes de jouissance, se cambre comme un arc alors qu’elle hurle son plaisir.
Pierre attend un moment, la bouche toujours au contact des petites lèvres, il est surpris par un jet invraisemblable qui lui inonde la bouche, coule sur son menton et dégouline comme un petit ruisseau entre les fesses écartées.
La langue de Pierre s’approche de l’entrée de la grotte inondée où elle s’enfonce délicatement, puis ressort, descend de quelques millimètres et se présente au centre de l’œillet ruisselant…
Un frisson de plaisir parcours les reins d’Edda, elle remonte ses genoux jusque sur sa poitrine pour offrir totalement l’accès à son petit œillet, Pierre fait courir sa langue sur la rosette offerte puis présente un doigt en son centre, il pousse légèrement, le doigt glisse lentement, entièrement, dans ce petit trou consentant, arrachant un « ah oui ! » éperdu des lèvres de cette femme avide de jouissance.
Il ressort son doigt de ce délicat nid de plaisir et en présente deux qu’il enfonce très lentement, jusqu’au fond… Il les fait bouger, les ressort, les enfile à nouveau au plus loin, provoquant des soupirs de plaisir continus qu’Edda pousse de plus en plus fort.
Puis il ressort ses doigts de ce joyau qu’il sait maintenant totalement à sa disposition. Il remonte jusqu’à la bouche qui accueille sa langue avec un plaisir évident. Il serre dans ses bras ce corps vibrant qui attend d’être pris avec impatience. Il dirige sa bite à l’entrée de la chatte inondée qu’il pénètre lentement, jusqu’aux tréfonds de ce ventre brûlant, de ce paradis mielleux. Il veut aller doucement, il veut qu’elle jouisse plusieurs fois, après il pénétrera son petit trou, c’est là qu’il veut se vider…
Leurs bouches ne se quittent plus, elle est bien, empalée jusqu’au cœur de ses entrailles par la bite énorme et raide, elle relève ses jambes et les noue derrière les reins de son cavalier, elle sent sa chatte ruisseler sur son petit trou.
Elle sait, à la délicate caresse qu’il lui a faite dans l’eau, puis à celle, encore plus délicieuse qu’il vient de prodiguer à son petit trou à l’instant qu’il va la pénétrer par là aussi, elle en meurt d’envie, elle souffre réellement d’être privée de cette sodomie qu’elle adore depuis son entrée dans le monde de l’adolescence et qu’elle a pratiquée d’innombrables fois, jusqu’à ce quelle rencontre son mari qui ne la suit pas du tout dans ce désir.
En douce, elle s’est acheté un chapelet de perles Thaï ainsi que quelques sextoys particulièrement bien adaptés à sa morphologie et se procure de bien agréables plaisirs avec ces accessoires délicieux.
Elle fait ça en cachette, dans la crainte permanente d’être découverte avec ces ersatz de sexe totalement enfoncés entre les reins et dans sa chatte, surtout au moment ou elle explose de jouissance.
Ces sodomies avec accessoires lui procurent des orgasmes délicieux, mais elle sait bien que ces jouissances n’ont rien à voir avec celles qu’elle vivait, adolescente déjà, quand elle sentait la queue de ses copains lui pistonner le petit trou, le seul orifice dont elle leur accordait l’accès autant qu’ils le voulaient puisqu’elle leur refusait systématiquement l’accès de sa chatte, à tous, pour ne pas tomber enceinte… !
Cette pratique lui avait permis de découvrir un plaisir fabuleux, des jouissances bestiales qui lui faisaient quitter la planète.
Là, elle sait avec certitude que la bite qui est en train de bouleverser ses entrailles et de l’amener rapidement à un orgasme délirant, va s’enfoncer aussi entre ses fesses, entre ses reins, elle sentira cette bite énorme lui envoyer ses giclées brulantes au fond de l’intestin, ce qui lui procurera ce plaisir sourd et profond dont elle est sevrée, depuis si longtemps.
C’est bien ainsi que les choses se passent.
Edda se déchaîne lors des deux orgasmes presque consécutifs que lui a procuré la présence extraordinairement bienfaisante de cette bite experte au fond de sa chatte. Puis, ses derniers spasmes de jouissance à peine estompés, elle se retourne, se positionne elle même à plat ventre, les reins cambrés, les fesses tendues devant son amant, le profond sillon et le petit trou totalement dégoulinants, inondés par les écoulements surabondants de ses jouissances successives, faisant comprendre à ce partenaire qui la comble comme elle ne l’a plus été depuis très longtemps, qu’elle lui offre l’accès de ses reins.
Elle n’a pas besoin d’en faire plus, Pierre a déjà enfoncé délicatement le bout fureteur de sa langue dans la petite fleur plissée et ruisselante qui est en train de se dilater doucement, il force le passage avec insistance, rentrant la pointe de sa langue de plus en plus profondément.
Puis Edda sent à nouveau deux doigts entrer dans son sphincter détendu, elle donne de petits coups de rein pour que la pénétration diabolique augmente, puis elle sent trois doigts glisser rapidement dans son cul, ils tournent, ils virevoltent, se plantent, ressortent, se plantent à nouveau, le plus loin possible…
Son cerveau ne lui obéit plus, elle soupire, elle geint, elle supplie, elle veut se faire enculer, maintenant, elle lui hurle presque…
Comme dans ses rêves les plus torrides, Edda sent le gland brûlant, doux et ferme se poser au centre de son œillet détendu, sous une légère et continuelle poussé elle sent sa rondelle déjà assouplie, inondée de sa mouille, finir de s’ouvrir progressivement, en douceur.
La muqueuse hypersensible de son petit trou épouse parfaitement les contours du gland qui la pénètre, transmettant à son cerveau la forme exacte de ce délicieux visiteur qui entre très, très lentement en elle. Puis elle sent toute la longueur de la colonne brûlante glisser régulièrement dans sa rondelle épanouie tandis qu’elle sent très distinctement le gros bourrelet du gland remonter dans son intestin, lui procurant cette si extraordinaire impression de chamboulement et de remplissage progressif de ses entrailles…
Après la progression régulière de cette colonne de chair dans son intestin distendu, elle pousse un soupir de bonheur en sentant les couilles de son amant se caler entre ses fesses qu’elle serre au maximum pour augmenter encore les sensations…
Puis le plaisir augmente, les mouvements de la bite qui plonge entre ses reins s’accélèrent, la main de Pierre glisse sous son ventre, jusqu’à sa chatte, un doigt s’insinue entre ses lèvres dégoulinantes, il commence à branler son bouton enflé de désir, elle sent l’arrivée des premiers frissons de cet orgasme incomparable, elle se déchaîne dans des mouvements de ses reins de plus en plus désordonnés, elle hurle à son amant de la défoncer…. Plus fort…. Plus loin…. Plus vite…
Elle gémit sous la jouissance gigantesque provoquée par ce corps qui butte régulièrement contre ses cuisses et ses fesses, les baiser brûlants qu’elle sent dans son cou, sur sa nuque, cette queue qui pilonne ses entrailles en glissant dans son cul dilaté, comme elle en rêvait et ce doigt qui branle son bouton avec frénésie.
Le déclenchement de l’orgasme intense et profond qu’elle vit aussitôt est provoqué par la sortie lente et totale de la bite qui lui visite si délicieusement le corps, suivie d’une plongée immédiate, presque sauvage, qui lui traverse brutalement la rondelle distendue, lui donnant l’impression d’exploser de l’intérieur.
Son orgasme est total, elle hurle…. Ses mots deviennent obscènes, elle tremble, elle gémit, elle se contorsionne, son corps est tétanisé, parcouru de violents soubresauts, elle donne de furieux coups de rein pour essayer de faire se planter, encore plus loin dans son corps, cette bite fabuleuse qui est en train de décharger en elle de puissants jets brûlants et saccadés qui comblent son ventre… Pierre pousse un rugissement de plaisir continu couvrant les cris de jouissance d’Edda, pendant que ses couilles se vident au plus profond de ce cul paradisiaque en longues et puissantes giclées qui électrisent tous ses sens…
Ses doigts qui branlaient frénétiquement la chatte d’Edda sont totalement aspergés d’un liquide chaud et glissant…
Leurs deux corps repus de jouissance sont maintenant détendus. Edda est toujours à plat ventre, Pierre allongé sur son dos, la bite profondément enfouie entre les fesses si accueillantes, caressée par les petits spasmes de plaisir qui contractent le petit trou et les entrailles moelleuses, la main inondée posée en creux sur la chatte dégoulinante .
Edda profite de ce moment de détente totale, de post-jouissance délicieuse, et du fait que Pierre ne peut pas voir son visage, pour le remercier de ce plaisir immense qu’elle n’avait plus connu depuis de nombreuses années, surtout pas avec son mari…
Pierre sourit intérieurement, il a déjà entendu plusieurs fois ce discours de la bouche de femmes mariées qui auraient honte d’accepter cette pénétration, si gênante dans leur esprit si elle est effectuée par leur mari, alors qu’elles la mendient carrément à leurs amants… Mais cette fois, curieusement, il la croit, il pense qu’elle est sincère. Il pense aussi qu’un mari qui ne veut pas faire l’amour dans son petit trou à une femme aussi exceptionnelle a vraiment un gros problème psycho machin…
Edda continue ses confidences, elle lui avoue que son mari ne lui fait plus l’amour du tout depuis bien longtemps, il dit être dégoûté par le flot du liquide de sa jouissance qui gicle de sa chatte lors de chacun de ses orgasmes, comme si elle éjaculait comme un homme, mais avec dix fois plus de volume, elle n’y peut rien, elle est allé voir son gynéco qui lui a dit que c’était sans solution, que son organisme fonctionnait comme ça, que les femmes qui entraient dans ce schéma physiologique s’appelaient les « femmes fontaines » et que, comme pour quantité d’autre femmes qui avaient ce type de réaction lors de l’orgasme, il n’y avait rien à faire… Mais le volume de ces écoulement semble aller en augmentant, c’est pour ça qu’elle avait accentué ses caresses dans l’eau jusqu’à ce qu’il lui fasse l’amour et la fasse jouir une première fois, elle savait que lors de son premier orgasme, la quantité de liquide qui sortait de sa chatte était bien supérieure à celle qu’elle évacuait lors des orgasmes suivant, et que, dans la piscine, il ne pourrait pas s’en apercevoir…
A la question directe qu’elle posa à Pierre, de savoir s’il n’était pas un peu rebuté aussi par ses écoulements torrentiel, il lui affirma que non, bien au contraire, il lui demanda même de se masturber devant lui pour qu’il puisse bien voir ce liquide gicler, ce qu’elle fit volontiers, mais en se faisant quand même prier un peu…
Edda est revenue chez Pierre, souvent, très souvent même, elle est devenue totalement dépendante de cet homme qui l’emmène si loin au paradis, qui joue de son corps comme un virtuose de son Stradivarius, qui adore ses écoulements de jouissance jusqu’à les boire goulûment à la source lorsqu’elle jouit sous les caresses torrides de sa langue.
Lors de sa troisième ou quatrième visite, elle laissa entendre à Pierre que, si cela lui faisait plaisir, cette fois elle pourrait rester plus longtemps avec lui sous entendu, toute la nuit s’il le désirait et même les suivantes aussi, son mari était parti en déplacement depuis le matin et comme sa fille Emilie était en stage scolaire, elle allait donc être totalement seule pendant cinq jours et autant de nuit…
Message reçu ! Un quart d’heure plus tard, Bernard était là, Pierre l’avait prévenu discrètement dès qu’il avait su qu’Edda passerait la nuit avec lui, il voulait absolument qu’ils profitent à deux de cette femme dont le corps était un temple du plaisir, insatiable et fabuleux…
Edda est surprise, un peu apeurée même, mais surtout très gênée par l’arrivée « impromptue » d’un ami de Pierre qui débarque dans la chambre au beau milieu de la soirée et de leurs caresses, qui jette un regard très appuyé sur les draps inondés par ses jets de jouissance et son corps maculé du sperme de Pierre qui venait de jouir sur ses seins… Pierre fit les présentations, la douce et délicate Edda qui avait maladroitement tiré le drap sur ses seins, mais qui présentait une chatte béante et inondée, fit mine de se faire prier un peu avant d’accepter que Bernard l’embrasse, elle prit son air le plus outré lorsqu’elle vit qu’il se déshabillait entièrement et qu’il se couchait à côté d’eux, la bite raide et droite comme un mât…
Pierre dut carrément supplier à genoux pour qu’elle accepte que Bernard la caresse aussi… mais c’était vraiment pour la forme ! Au fond d’elle-même elle avait été totalement subjuguée par cette nouvelle bite aussi belle que celle de Pierre et elle avait parfaitement compris que ce soir, elle allait se faire empaler par ces deux magnifiques pieux d’amour en même temps.
De toute évidence, elle n’avait jamais eu une telle occasion d’assouvir ce fantasme commun à presque toute femme mais, de toute évidence aussi, elle en mourrait littéralement d’envie. Ses minauderies et ses faux airs outrés n’étaient que des coquetteries de femme que la quarantaine approchante incitait à mesurer encore son pouvoir de séduction sur deux hommes un peu plus jeunes qu’elle.
Visiblement, elle mourait d’impatience de réaliser ce qui devait quand même être, à ses yeux de petite bourgeoise un peu coincée, une pratique inavouable, de la plus honteuse obscénité…
Alors, pour la forme également, Bernard et Pierre se prêtèrent à son jeu avec énormément de gentillesse…
Pendant une bonne demi heure, ils la cajolèrent, ils la caressèrent… D’abord séparément puis ensemble. Edda, entièrement subjuguée par les mains fiévreuses de Pierre, sa bouche totalement investie par la langue de cet homme qui lui ouvrait de nouveaux horizons de plaisir, senti quatre mains parcourir sa peau… Puis plusieurs doigts pénétrer en elle…
Elle finit par s’offrir passionnément et abandonna totalement son corps à ces quatre mains, à ces deux bouches avides, et à ces deux bites qui allaient forcément la faire délirer de jouissance, elle explosa sous les spasmes d’orgasmes cataclysmiques déclenchés par les deux langues fureteuses qui virevoltaient sur et dans sa chatte et son cul consentants, aspirant goulûment chaque bite qui passait à portée de sa bouche tout en aspergeant, à chacun de ses innombrables orgasmes, le visage de ses deux amants de ses abondants jets de cyprine …
Puis, le moment dont elle rêvait depuis qu’elle avait totalement abandonné son corps aux deux hommes arriva…
Elle s’allongea sur le corps de Bernard, les cuisses largement écartées, elle sentit la bite de Pierre glisser délicatement entre ses fesses, les deux hommes la pénétrèrent exactement en même temps, au même rythme, très délicatement, très tendrement, les deux bites glissèrent au fond de son corps le plus profondément possible. C’était la première double pénétration de sa vie et pour elle, ce baptême fabuleux ne pouvait pas être réalisé par de meilleurs amants.
Elle délirait presque de plaisir en sentant ces deux colonnes magiques plonger lentement en elle, se croiser au fond de son corps, ressortir ensembles, replonger aussitôt, tantôt très violemment, tantôt avec une douceur et une lenteur exaspérantes…L’orgasme démentiel qui la cueillit alors que ses deux amants se répandaient au plus profond de des entrailles la fit s’évanouir.
Elle reprit ses esprits, son corps toujours coincé entre ceux de ses deux amants, elle sentait toujours sa chatte et son cul occupé par ces bites qui l’avaient conduite beaucoup plus loin dans la jouissance qu’elle n’était encore jamais allée !
Non seulement elle s’est laissée emmener sans la moindre retenue dans ce paradis total, mais elle exprimait son plaisir de plus en plus bruyamment, elle adoptait un langage franchement obscène dans ces moments de délire jouissif…
Ils recommencèrent au moins quatre fois avant de finir par s’endormir comme des masses, à deux heures du matin, repus d’amour, leurs trois corps ruisselants du sperme des deux hommes et des jets de jouissance d’Edda, les bites des deux hommes toujours engagées dans ce corps adorable, tous repus de jouissance…
Ce festival dura cinq jours et quatre nuits complètes, Edda avait près de vingt ans de privations à rattraper et les deux hommes acceptaient plus que volontiers de l’aider à combler ce retard…
Pendant ces jours magiques pour elle, à chaque instant son petit trou était occupé par une bite bandée, sauf durant les repas, et encore, ainsi qu’aux moments ou elle allait aux toilettes, courts instants suivis d’un petit lavement purificateur… Elle avait l’impression de revivre, d’avoir fait un bond en arrière de vingt cinq ans…
Par la suite, Edda eut du mal à cacher sa déception lorsqu’elle se rendait chez Pierre et que Bernard n’était pas là, mais heureusement pour elle, les absences de son second amant étaient rares…
Un jour, alors que les bites des deux compères commençaient à peine à désenfler dans son corps, après une ultime jouissance de ses deux mâles et qu’elle récupérait elle-même très lentement d’un énième orgasme démentiel, la question qui lui démangeait la langue depuis le début de son aventure avec Pierre franchit enfin ses lèvres:
– Dites moi franchement, est ce que vous avez fait la même chose à mon bébé et à sa copine ?
Il y eut un très court silence qui était déjà un aveu en soi, puis Pierre lui dit la vérité sans aucune restriction :
– Ben oui, bien entendu qu’on leur a fait la même chose…! Non seulement on leur a fait l’amour tous les jours comme on vient de te le faire à toi, mais quand elles sont venues sur le bateau avec nous, en plus de faire l’amour avec chacun de nous trois séparément, puis entre elles, elles se faisaient prendre par trois homme en même temps au moins une fois par jour, parfois même par trois hommes plus une jeune femme ravissante, une petite blackette de leur âge à qui elles ont fait découvrir l’amour entre filles…
Je peux même te dire que c’est Bernard et moi qui les avons initiées à la sodomie et que depuis, il n’est plus question de leur faire l’amour sans les enculer au moins une fois, elles adorent ça, tout comme toi ! Elles ont certainement plus joui, plus senti de bites exploser au fond de leur chatte de leur cul ou de leur bouche en trois semaines que toi en dix ans…
Je peux même t’affirmer que c’étaient elles qui déclenchaient systématiquement ces séances fabuleuses.
Je ne pense pas que tu puisses avoir de raison de nous en vouloir à cause de ça et ni à elles non plus, elles sont jeunes, elles sont belles, elles adorent absolument tous les plaisirs du corps, elles aiment jouir autant que toi, elles profitent totalement de la vie de façon saine et franche, quoi de plus normal ?
… Tu ne pensais pas qu’elles auraient pu t’en apprendre autant, ton « bébé » et sa copine, hein ?
Edda était pensive, elle lâcha, un peu désabusée mais totalement soulagée :
– Je me doutais bien de ce que tu me dis et leurs pères aussi, et pour être tout à fait franche à mon tour avec vous deux, je souhaitais sincèrement, très fort et de tout mon cœur de mère pour elles qu’elles découvrent l’amour entre les bras d’un home attentif, mais j’avais un gros doute sur cette hypothèse, à plus forte raison d’apprendre qu’elles avaient fait l’amour à plusieurs… !
Je savais parfaitement qu’elles faisaient l’amour entre elles depuis le début de leur puberté, elles ne s’en cachaient d’ailleurs pas du tout lorsqu’elles dormaient toutes les deux à la maison.
Alors je les croyais homo pures et dures et je pensais que c’était surtout dommage de passer à côté de plaisirs aussi fabuleux que ceux que je vis avec vous!
Me voilà rassurée, cette nouvelle est une excellente nouvelle pour moi et surtout pour elles.
Maintenant, j’ai plusieurs points communs avec mon bébé : deux amants, l’amour immodéré de la sodomie, et l’envie de tout connaître du sexe !
Mais tu as raison, avant que je ne vous connaisse si bien tous les deux, elles auraient pu m’en apprendre et même me surprendre, mais plus maintenant !
Maintenant, c’est peut être même moi qui vais vous surprendre parce que j’ai un truc à vous proposer : Ça vous plairait si je venais avec Chantal la prochaine fois ? Pour être franche avec vous deux, j’avoue que je lui ai expliqué tous nos « après-midi » dans les moindre détails… Comme, elle non plus, n’a pas vraiment un partenaire sexuel très créatif ni très performant dans sa vie d’épouse, elle aimerait connaître, enfin, elle aussi, de telles jouissances.
Si vous êtes d’accords pour qu’elle vienne avec nous, auparavant, je dois vous avertir de deux choses très importantes : la première, c’est qu’elle est comme moi, quand elle jouit, elle inonde totalement les draps, elle n’y peut rien non plus, c’est une femme fontaine, comme moi. La seconde chose, c’est que je sais qu’elle meure d’envie de se faire sodomiser. Un jour, on en a discuté très longuement, je lui ai expliqué les jouissances que je retirais de ces pénétrations de mon petit trou par une bite bien raide, puis je lui ai parlé de mes gadgets si agréables qui me permettaient d’arriver à jouir aussi, elle me les a alors emprunté, pour voir, pour essayer… On en a reparlé une quinzaine de jours plus tard, elle était franchement emballée, elle en a d’ailleurs acheté plusieurs d’après ce qu’elle m’a dit.
Son problème est simple, elle ne s’est jamais faite enculer par son mari, elle ne peut pas lui demander de lui faire maintenant sans déclencher une suspicion et une jalousie infondées…
Alors elle veut vraiment se faire dépuceler sa petite rondelle par quelqu’un comme vous deux, avec toute la douceur qui convient… Enfin, maintenant que je vous connais si bien, si vous voulez bien, je sais qu’elle sera obligatoirement comblée… Et puis, si ça se fait, pour les quatre ou cinq premières fois, si ça ne vous dérange pas je vous aiderais, je la détendrais un peu, je la préparerais…
Tiens, tiens !!! Une vocation tardive ou une envie jusque là refoulée ? Les deux filles ont de qui tenir !! Décidément, l’hérédité n’est pas un vain mot !
L’accord des deux hommes pour cette agréable perspective se traduisit par une double érection immédiate des deux bites qui n’avaient pas quitté le corps d’Edda d’un millimètre et qu’elle senti enfler rapidement dans sa chatte et dans son cul… Sa bouche fut envahie par la langue de Bernard… en moins de cinq minutes, l’orgasme synchrone qui secoua le trio fut cataclysmique et l’inondation du lit, totale…
La semaine suivante, Chantal se joignit au groupe avec un certain trac.
Après les minauderies indispensables de rigueur, elle finit par se déshabiller, puis se laisser caresser par Bernard, puis par Pierre aussi, puis elle finit par faire l’amour, sans la moindre retenue, avec chacun des deux hommes, mais séparément…
Tous purent constater qu’effectivement, les jets de jouissance qui giclaient de sa chatte à chaque orgasme étaient aussi spectaculaires que ceux d’Edda…
Puis, après avoir assisté et même participé assez activement à la double pénétration d’Edda avec un plaisir qui se lisait dans ses yeux et entre ses cuisses dégoulinantes, elle fut intronisée à la sodomie avec la même douceur, la même délicatesse, les mêmes accessoires qui avaient servi à initier sa fille à cette même pénétration délicieuse quelques mois plus tôt… Sauf qu’elle avait demandé que ce soit Edda qui la prépare, elle préférait…
Rassurée sur l’élasticité de son œillet par les caresses et les pénétrations délicates que lui prodiguait Edda, les entrailles enflammée et le cul rendu béant par ces nouveaux plaisirs si profonds, elle accepta immédiatement de faire l’amour avec les deux hommes à la foi.
Après la légère douleur inévitable des premières fois, elle en retira un plaisir largement aussi intense que celui que connaissait Edda lorsqu’elle était empalée par les deux bites…
De très nombreuses fois, les deux femmes sont venues chez Pierre…. De très nombreuses fois Bernard était là, très souvent, Fred put se joindre à eux, les après-midi ressemblaient alors de plus en plus à des orgies romaines du type de celles que les filles de ces deux femmes superbes avaient vécues sur le bateau, aucune des deux ne restant un seul instant sans avoir une bite enfoncée dans la bouche, dans la chatte ou dans le cul.
Les « éjaculations » des deux femmes étaient toujours aussi abondantes et spectaculaires, les hommes leur demandaient de se masturber devant eux pour assister à la sortie de ces jets d’entre les lèvres de leur chatte et les boire goulûment…
Les trois hommes les faisaient souvent jouir en s’allongeant sur le dos, les femmes assises sur leur ventre, empalée sur leur bite bandée, alors, quand elles jouissaient, elles leur inondait le ventre la bite les couilles, le liquide brûlant et glissant de cette jouissance féminine exceptionnelle leur coulait jusqu’entre les fesses, ils ne pouvaient pas résister au plaisir que leur procurait cette « douche » de plaisir et se vidaient instantanément les couilles au fond des chattes délicieusement ruisselantes.
Ce qui dégoûtait le mari d’Edda depuis si longtemps était une source de plaisir sans limite pour le groupe. Après que Chantal ait demandé à Edda de se branler et de lui envoyer ses jets de jouissance entre les fesses pour lubrifier son petit trou juste avant qu’elle ne se fasse enculer par Bernard, ce qu’Edda avait accepté et fait avec énormément de plaisir, les deux femmes ont commencé à échanger des caresses de plus en plus torrides. Elles en sont rapidement arrivées à faire l’amour toutes les deux, pour le plus grand plaisir des hommes qui assistaient à ces spectacles avec une érection qui ne faisait qu’augmenter…
Il ne restait plus à Pierre qu’à être suffisamment prévoyant et vigilant pour que les mères et les filles ne se rencontrent jamais à l’improviste dans sa maison. Une telle rencontre risquerait peut être bien de jeter un petit froid et de précipiter la fin, de toutes façons inévitable, de ces moments inoubliables…..
Demain, Marine va venir passer le week-end chez Pierre, il a prévenu Bernard et Fred qui seront là tous les deux, la petite blackette et les trois hommes vont passer deux jours inoubliables…
Cet accident a des conséquences interminables…….. Mais, tellement délicieuses !
Janus premier.
Proposée par Janus premier
un grand plaisir à le lire, bravo!!
Je m’attendais a une suite de Ghost et je me régalais d’avance, mais c’est encore mieux…! Bravo et merci !
Aussi bien que Ghost, mais sans l’intrigue … une suite s’il vous plaît …
Bien écrit..de bonnes idées, un fil conducteur et un accent de vérité…encore!